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Taliesin
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Inscrit le : 01 Fév 2004

Message Posté le : 21/08/13 00:07    Sujet du message: Répondre en citant

Le WTF de la saison 2 est magnifique l'ambiance gros nanar est clairement assumée Sourire .

Je trouve qu'il n'y a plus cette ambiance justement, depuis la saison 5 je dirais. Il y a de la connerie qui s'est perdue depuis, dommage. Et je le sens encore dans la saison 7.
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kent
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Message Posté le : 21/08/13 08:23    Sujet du message: Répondre en citant

Ah ok, en fait ça se sérieu-ise cette série...
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Taliesin
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Message Posté le : 21/08/13 10:46    Sujet du message: Répondre en citant

Je ne sais pas si d'autres personnes le ressentent ainsi. Le dessin devient plus WTF, plus extravagant, plus "gay friendly", avec plus de sous-entendus qu'avant. Mais au niveau de la connerie, je trouve vraiment qu'on y a perdu Triste . Y'a plus de phrases cons du style "un bon slip frais le matin" Mort de rire ou même des comportements totalement débiles. Il y a un peu Narancia dans Golden Wind, et parfois Jolyne dans Stone Ocean, ou encore le renoi de Steel Ball Run. Mais il y a quelque chose en moins malgré tout.
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asakura
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Inscrit le : 15 Jan 2006

Message Posté le : 21/08/13 11:04    Sujet du message: Répondre en citant

Je le ressent également. Ca se sérieurise effectivement et les personnages sont de plus en plus fin et efféminé. J'adore le dessin des 2ième et 3ième partie pour cela. Je n'ai pas lu la 4 mais dans GW Jotaro, etc... étaient presque méconnaissable.
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Qu'est-ce que le bronzage à part une cuisson pas terminé ?
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Taliesin
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Message Posté le : 30/08/13 15:24    Sujet du message: Répondre en citant

Ces temps-ci j'ai ressenti le besoin de relire des titres de ma bibliothèque. Cela arrive régulièrement, surtout que je ne suis pas toujours très attentive lors de ma première lecture. Beaucoup de "malife" dans ce post (désolée). Je me suis tellement étendue que j'écrirai sur les autres lectures plus tard Embarassé


RG Veda

La première série de CLAMP, en tant que pro. Prépublication en 1989 dans le Wings. Succès immédiat. Succès aussi en France. Sorti en 1995. Je l'ai lu la première fois en 1998 (ou fin 1997), ce fut une véritable révélation. Avec Gunnm, un des manga les plus importants de ma vie de lectrice car m'ayant permis de lire autre chose que des shônen aux dessins tout ronds et mignons style Toriyama, ou les anime du style Doraemon et autres trucs au dessin très simple comme je voyais à la télé hongkongaise en été.

En fait, je ne comprenais pas grand chose au premier volume à l'époque: noms compliqués, contexte flou à mes yeux (n'ayant à ce moment, jamais lu de fantasy ou autre truc apparenté, mais j'aimais beaucoup le fantastique et je crois que je l'aime toujours aujourd'hui), personnages très nombreux, planches déroutantes (les décors sont parfois très étranges et je ne comprenais pas trop où se trouvaient les personnages!), humour second degré à la con que je comprenais mal aussi. A cette époque, j'avais 15 ans. Et quand j'allais en vacances à Hong Kong, il y a un truc qui m'intriguait tout le temps: c'est quoi CLAMP au juste? Je voyais souvent des goodies et des posters avec cette mention, et là, en France, un manga avec aussi.

Mais c'est vraiment un manga qui m'a énormément intriguée, parce que le dessin était à mes yeux merveilleux (je n'avais jamais vu quelque chose dans ce style) et l'histoire hyper mystérieuse (à mes yeux), et parce que j'étais intriguée, même en ne comprenant pas grand chose, j'ai continué à taxer les volumes à une amie jusqu'à la fin. A jamais ce manga est resté dans mon cÅ?ur, parce que la fin quoi... Malgré les 45 francs que coûtaient un volume, j'avais décidé de les acheter mais ils étaient en rupture (selon mes calculs, ça m'aurait pris des années et des années, puis fallait trouver un endroit où les planquer, non mais 45 francs le manga, faut pas être fou c'est jeter l'argent par les fenêtres chez moi Mort de rire ). La dure loi de Tonkam Sourire quoi. Il aura fallu attendre le début des années 2000 pour une réédition et une inflation du prix grâce à l'euro: on passe donc de 45F à 9â?¬. Et là, je les achète, j'ai enfin ma collection à moi (et puis on s'était brouillées avec cette amie Mort de rire ).

J'ai relu ce manga lorsque je l'ai acheté début des années 2000. J'avais beaucoup aimé, et je continuais à penser qu'il s'agissait du meilleur CLAMP. Maintenant, ça fait presque 10 ans que je ne l'ai pas relu. Et mes souvenirs sont juste quasi nuls, sauf pour le retournement hyper marquant du volume 9, évidemment. Parce que ça, c'est un des moments manga les plus cultes de ma vie je crois Mort de rire Mort de rire comment ce personnage a trop bien manoeuvré sans que je m'y attende (faut ajouter que c'est bien fait, mais qu'en plus, je n'avais quasi pas lu d'autre chose en 1998 Mort de rire ).

Et finalement, RG Veda, je continue à le penser, reste le manga le plus abouti de CLAMP avec Tokyo Babylon. Parce que X n'a pas eu de fin. Et les CLAMP plus récents ont clairement un truc en moins, que je ne saurais définir. Il y a toujours de la finesse dans les histoires, il y a toujours une narration superbe, et même très maîtrisée aujourd'hui. Mais ce n'est pas ça, il y a clairement un petit truc en plus dans les oeuvres de naguères, quelque chose d'un poil "dérangeant" (déviant? gênant?) qu'il n'y a plus aujourd'hui. L'épaisseur d'un certain mystère, le design des personnages aussi, peut-être, moins élégant (moins agaçant pour certains Clin d'oeil ). Mais clairement, il y a une personnalité en moins. Et puis, que ce soit dans RG Veda, Tokyo Babylon ou X, les histoires comportaient plus de part de noirceur (et d'ésotérisme).

Jusqu'au volume 9, l'histoire est linéaire. Les tragédies sont assez grosses. Les personnages sont quand même hyper stéréotypés. Il ne se passe pas grand chose. Le petit Ashura guide les autres, y'a des gens qui meurent par sa faute, Kujaku vient faire joujou avec tout le monde, bref. Mais il y a une ambiance mystérieuse, et puis cette prophétie qui se répète qui tient tout le monde en place. Si les tous premiers volumes ont un poil vieilli graphiquement (quelques proportions, quelques nez sur le visage), Mokona Apapa trouve vite ses marques et les petits défauts sont rapidement gommés. Il ne reste donc plus que des planches avec des personnages incroyablement élégants, élancés, à l'allure altière, et un des plus beau manga de CLAMP du point de vue graphique. Après tout, on parle ici de noblesse Sourire (Kendappa-ô est sûrement, à mes yeux, le plus beau personnage de CLAMP d'un point de vue graphique, et Tomoyo est une forme de pendant de Kendappa en plus petit dans Card Captor Sakura).

Jusqu'au volume 9 donc, on garde le même schéma. Avec, en plus, l'humour à la con, complètement débile des débuts de CLAMP. Et puis ces bonus avec des inversions de sexe qui sont fréquents, la famille de Ryû-ô avec la mère toute puissante et le papa qui fait à manger. Un message clairement féministe qui parsème les Å?uvres du groupe. Humour très très bête que je trouve peut-être moins dans, par exemple, un xxxHolic où, certes, Watanuki s'agite toutes les deux pages, mais ce n'est pas pareil. L'humour est clairement moins distancié, moins moqueur aussi Sourire .

Dans RG Veda, il y a aussi la force de cet ennemi quasi-invincible: le cruel Empereur du Ciel, Taishaku-ten. Ennemi de taille, et on se demande comment, avec une telle puissance, la prophétie va s'accomplir. Et malgré tout, je trouve que ce méchant très méchant n'a pas l'air ridicule pour autant, ni trop manichéen. Un personnage extrêmement cruel qui m'a beaucoup marqué, en témoigne Karura-ô. Si les événements du volume 9 m'ont marquée à jamais, j'avais complètement oublié la fin, la vraie. Et elle est belle, extrêmement belle. J'avais oublié à quelle point les personnages étaient plein de volonté, plein de dilemmes, et surtout, à quel point les personnages de l'univers CLAMP tiennent à leur promesse.

Et même après relecture, et la nostalgie n'y est sûrement pas complètement pour rien, RG Veda m'a encore semblé génial. En fait, il a encore largement sa place dans ma bibliothèque. Et c'est aussi la faute à RG Veda si j'ai toujours cet amour pour les shôjo fantastiques, ce style de manga incroyablement attirant à mes yeux, et qui ne marche, on dirait, pas du tout ici. C'est RG Veda qui a par exemple fait de moi l'espèce d'obsédé du Cortège des cent démons, ou Onmyôji. Un manga incroyablement marquant, auquel je dois beaucoup. Et ne me parlez pas de cette amie qui m'a prêté ce manga Mort de rire ! Arf, une chronique qui ne veut rien dire finalement Triste .
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yakutake83
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Message Posté le : 30/08/13 21:22    Sujet du message: Répondre en citant

Bon, bah c'est malin, tu viens de me donner envie de me relire la série (d'autant que j'ai acheté l'édition Deluxe que j'ai quasiment pas ouverte ^^')!

Allez, j'ai trouvé mon programme de Dimanche, tiens ^^
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Taliesin
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Message Posté le : 31/08/13 00:37    Sujet du message: Répondre en citant

Oui, relis-le Sourire!!! La traduction a été changée dans l'édition deluxe?
Je n'ai pas investi dans l'édition deluxe, j'aime beaucoup l'édition normale. Les couvertures sont sublimes, et puis elles forment une image en entier. Waouw... Tu aimes tout CLAMP yaku? Je trouve vraiment qu'il y a un petit changement chez elles, il y a vraiment un avant et après Card Captor Sakura. Aaah... RG Veda.
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kent
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Message Posté le : 31/08/13 13:52    Sujet du message: Répondre en citant

Très belle critique emplie de nostalgie...moi aussi je les relirai bien mes petits manga que ce soit RG Veda, ou autres. Très content
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Taliesin
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Message Posté le : 01/09/13 13:17    Sujet du message: Répondre en citant

Les manga, je les achète pour pouvoir les relire un jour Sourire ! Sinon, je les emprunte... ou alors je n'ai pas d'autre choix que les garder (langue étrangère, certains cadeaux).

Je n'ai pas seulement relu RG Veda, mais aussi un autre de mes amours du milieu des années 2000.


Hotel Africa

Ceux qui me connaissent le savent, ce manhwa figure en tête de mes plus grandes frustrations éditoriales du paysage manga/manhwa en France. J'ai connu Park Hee Jung sur Fever, édité vers 2004-2005 par Paquet, et ce fut évidemment un coup de coeur. Cette série est la seule à avoir eu une fin en France parmi les oeuvres de Park Hee Jung. Peu après, Paquet décide de continuer sur la voie Park Hee Jung, toujours dans la fameuse collection Asie (où se trouve aussi un certain Usagi Yojimbo), en éditant son grand succès des années 90, celui qui a rendu Park Hee Jung si célèbre: Hotel Africa. L'édition choisie est la collector, sortie en Corée pour les 10 ans de la série, et s'étale donc sur 4 volumes au lieu de 5. Chaque volume fait environ 260 pages. La frustration vient donc de là: sur les 4 volumes, Paquet en a sorti 2, avec un volume 3 qui s'est longtemps fait attendre avec multiples reports sans jamais sortir (la série disparut, ni vu ni connu, du catalogue de l'éditeur). En Corée du Sud, Hotel Africa a été prépublié de 1995 à 2000 (?) dans le magazine Wink de l'éditeur Seoul Cultural. Il s'agit d'un magazine à destination d'un public féminin, et qui a accueilli des séries telles que Palais / Goong ou Kitchen.

Dans Hotel Africa, l'histoire se déroule à deux moments. Le moment présent, les années 90, où on trouve Elvis, étudiant à New York. Il partage son appartement avec un ami de la fac, Ed. Et souvent, leur amie Jul vient leur rendre visite. Les trois forment un trio inséparable digne des Friends que nous connaissons bien, et aimeraient perser dans le milieu du cinéma. Le chemin est difficile et rempli de galères.

A chaque chapitre, une situation présente évoque à Elvis son enfance. Lorsqu'il était petit, il vivait au fin fond de l'Utah, dans un coin archi paumé, avec sa maman et la mère de cette dernière. Lorsque sa mère, Adelaïde, décide de se servir de sa maison pour ouvrir un hotel de passage, c'est le début de multiples histoires. Dans cet hotel, il y a Jiyo, un bel Indien (d'Amérique) fou d'amour pour Adelaïde. Elvis sympathise évidemment très vite avec cet homme. Les autres clients, bien souvent de passage, sont pour la plupart des marginaux ayant chacun leur lot d'histoires personnelles. Elvis est un enfant orphelin de père, et celui-ci était Noir Américain. Sa mère, Adélaïde, est blanche, ce qui en fait un enfant différent aux yeux des autres.

Le tout est composé de petites histoires, se déroulant dans l'enfance de Elvis. En vrai, il n'y a pas de véritable intrigue, et l'arrêt de la série ne fut donc pas une grande frustration en soi. Il y a bien un petit fil rouge, sur l'avenir d'Elvis, Ed et Jul, bien que l'histoire avance très peu de ce côté. Il y a aussi la fatidique question de la douleur d'Adèle, la mère de Elvis, face à la mort de son grand amour. Celle-ci ne garde pas de photo du père d'Elvis, et le sujet semble tabou. Lorsqu'on feuillete des scans (chinois, et de qualité très mauvaise), on se rend compte que la jeunesse d'Adèle est abordée au volume 3, ainsi que les difficultés à vivre une relation interraciale à une certaine époque, aux Etats-Unis.

C'est donc ces petits trucs que le public français n'aura pas, et c'est ce qui frustre. Et puis, au-delà des histoires en elles-mêmes, souvent très sentimentales et quand même remplies de bons sentiments, il y a une ambiance vraiment unique se dégageant des planches de Hotel Africa. Une ambiance planante, qui transporte le lecteur dans un endroit finalement hors du temps, comme les illustrations de Park Hee Jung le montrent si bien. Un peu comme la couverture du volume 1 de Martin et John. Park Hee Jung parle aussi, à certains chapitres, des amis d'Elvis et de leur triste passé, que ce soit Ed ou Jul. Pour Jul, on devine des relations difficiles avec une mère à laquelle elle ressemble en tout point, cela se retrouve aussi dans l'autre série de Park Hee Jung, Fever, à travers le personnage de Lee Ahlip. Son histoire avec sa nounou, travailleuse immigrée d'origine d'Amérique latine (ou du Mexique) est très émouvante. Quant à Ed, la tragédie est beaucoup plus "banale" et se rapprochant de ce qu'on peut lire dans les shôjo manga. Park Hee Jung, comme on peut le deviner ensuite dans Martin et John, puis dans Fever, aime bien l'homosexualité et le suicide. Les adolescents de Park Hee Jung ont une vie difficile, et cela se traduira aussi dans sa série Fever, au final plus tragique.

Dans Hotel Africa, le fait d'avoir deux époques fait que les histoires sont variées. On passe à un amour d'enfance à un pépé qui rêve devant sa télévision, ou l'histoire d'un chien fidèle à son maître, deux adolescentes fugueuses qui aimeraient se suicider. Puis il y a ce personnage de Jiyo, Indien intriguant dont la profession se devine par petites touches. Les personnages sont tous un peu à côté de la plaque mais apportent finalement beaucoup au petit Elvis. Et enfin, le petit Elvis à lui seul est vraiment hyper chou (un peu victime comme Aladin de Magi...). Je connais certaines personnes qui le trouvent agaçant mais je me laisse avoir Mort de rire . Park Hee Jung cultive aussi une certaine ambiguité sexuelle comme elle aime, à travers le trio Elvis-Jul-Ed. Les blagues sur le couple Ed-Elivs fusent, mais on ne sait pas si Jul-Elvis? Elvis semble avoir un charme unique, plaisant à la fois aux hommes et aux femmes.

Enfin, il est évidemment possible de lire cette série sans connaître de frustrations, car les chapitres peuvent se lire de manière indépendante. Je fais partie des monomaniaques ayant enquêté à travers le web pour voir si il existe une fin dans une autre langue qu'en coréen. Il semblerait que non, car Park Hee Jung est définitivement maudite hors de la Corée du Sud. Alors que dans son pays d'origine, cette manhwaga est une star. Pour résumer: Hotel Africa n'a connu que 2 volumes aux Etats-Unis (édition collector comme ici) et 4 volumes à Taïwan (édition normale, donc arrêt juste à 1 volume de la fin!!!!). Pour ce qui est de Fever, la série a été achevée en France uniquement, il n'y a eu qu'un volume aux Etats-Unis et 2 volumes en Italie. Enfin, Martin et John a été stoppé ici chez Samji après 5 volumes, 1 volume aux Etats-Unis (Tokyopop), 4 volumes en Allemagne (Panini). Aux Etats-Unis, il est possible encore de se procurer Too Long, un recueil d'histoires courtes, malgré l'éditeur Tokyopop.

Après la fin de Martin et John (12 volumes), Park Hee Jung continue actuellement avec un webcomic en couleurs. En parlant couleurs, ses illustrations sont vraiment magnifiques, et elle parvient à donner une touche très particulière, emprunte de rêve, de liberté et de poésie à celles-ci, dans un univers qui lui appartient. Cela me rappelle une autre auteure, Ichiko Ima, qui parvient également à un résultat assez unique en couleurs, avec beaucoup de poésie et de tranquillité dans ses illustrations. Le côté hors du temps est aussi là. De plus, sa seule série traduite en français, Le cortège des cent démons, a été stoppée en 2008, un peu comme Hotel Africa.

En parlant nostalgie, y'a-t-il des manga qui ont eu une grande importance pour vous dans votre vie de lecteur/lectrice? Pas forcément un manga préféré, mais un manga qui vous a permis de "passer à autre chose", un peu comme RG Veda et Gunnm qui m'ont ouvert vers autre chose que Akira Toriyama et autres manga au dessins ronds.
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yakutake83
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Inscrit le : 28 Mars 2006
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Message Posté le : 01/09/13 13:36    Sujet du message: Répondre en citant

Taliesin a écrit:
Tu aimes tout CLAMP yaku? Je trouve vraiment qu'il y a un petit changement chez elles, il y a vraiment un avant et après Card Captor Sakura. Aaah... RG Veda.


Hum.... en fait, hormis Kobato, Gate 7, Clamp School Detectives et Le voleur aux 100 visages (ces deux derniers sont très drôles, mais juste des compilations d'histoires courtes sans trame de fond, ce qui les fait grandement descendre dans mon estime).... en fait oui, j'aime tous les autres titres ^^' (bon, pas encore de réel avis sur Drug & Drop, vu qu'il n'y a qu'un seul tome, mais je suis plus ou moins inquiet... ça me semble pas être du même niveau que ce qu'elles avaient commencé avec Lawful Drug)! Ah si, j'ai eu un peu de mal avec Angelic Layer, quand même, ainsi qu'avec J'aime ce que j'aime (les deux sont chouettes, mais moins accrocheurs que le reste)

Je trouve pas vraiment de frontière au niveau de Sakura, puisque le sublime Trèfle et l'excellent Chobits sont sortis après ^^'


A noter que j'ai aussi les titres sortis en France des anciennes CLAMP : Leeza SEI (Combination, jamais fini hélas) et Tamayo AKIYAMA (Secret Chaser, qui aurait pu être bien s'il y avait une vraie fin ; Moryo Kiden et Hyper Run, tous deux très chouettes)! Dommage pour cette dernière que sa série Cluster n'ait jamais été traduite en France!



Concernant Park Hee Jung, je pensais pas que sa malédiction était aussi importante Triste On peut s'estimer heureux d'avoir eu la fin de Fever, quoi!!!
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Taliesin
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Message Posté le : 01/09/13 14:08    Sujet du message: Répondre en citant

Oui, on a vraiment eu du bol pour Fever O_O. Et je me dis que j'ai vraiment eu du bol d'être née en France parce que la langue française c'est vraiment une galère pas possible quand il faut l'apprendre Mort de rire Mort de rire . La malédiction Park Hee Jung n'est pas une simple malédiction manhwa, malheureusement. C'est vraiment, et c'est dommage, une auteure qui n'a pas su trouver son public. Après, elle a un style vraiment bien à elle, qui la distingue des autres. Elle a quand même réussi à toucher du monde en Corée du Sud, et pour beaucoup, Hotel Africa fut un chef-d'oeuvre u_u.

Toujours pas lu CLAMP School Detectives qui m'intriguait beaucoup (l'anime qui passait à Hong Kong) ni Dukalyon d'ailleurs. Le voleur aux cent visages fait partie de ces oeuvres de jeunesse, avec un humour à la con omniprésent et ayant quand même pris un beau coup de vieux. Même si cette série n'est pas géniale, je trouve qu'il y a un humour très distancié qui s'est perdu au fil du temps. Dans ce manga, CLAMP a l'air de savoir qu'elles n'écrivent clairement pas un truc révolutionnaire Mort de rire . Elles ne se prennent clairement pas au sérieux et c'est quelque chose que je trouve moins dans leurs productions actuelles.

Drug & Drop fut une déception pour ma part. J'étais très fan de Lawful Drug justement ces petites histoires très épisodiques avec un fil rouge assez lointain et une ambiance mystérieuse dont CLAMP a (avait?) le secret. Le volume 3 qui parodie clairement les yaoi se déroulant dans des internats de garçons est déjà moins réussi, j'ai vraiment préféré les histoires plus courtes sur cette série. Quant à Drug & Drop, l'intérêt était de voir Watanuki (super!) et elles distillent trop d'éléments, ça manque de finesse. Sans parler du trait, que je n'aime pas Triste . Rikuo était plus viril jadis.

J'ai toujours pensé que Trèfle était avant Card Captor Sakura. Ce dernier manga a été un tel succès, que je trouve, quelque chose s'est produit. Et depuis celui-là, ça a pas mal changé. J'aime beaucoup Card Captor Sakura d'ailleurs, c'est un manga magical girl, avec une petite fille, mais il y a plein de sous-entendus et puis le petit quelque chose CLAMP. Mais après, ça, j'ai trouvé leurs séries bien plus banales, plus "normales". Même xxxHolic que j'aime pourtant beaucoup. Comme si les CLAMP avaient pris conscience de quelque chose dans leurs oeuvres, faisant une unicité propre, et qu'elles en usent et abusent. Andreas, quand il parle de Rork, dit ne pas aimer s'analyser parce qu'il veut laisser de l'inconscient dans son travail. Et bien c'est un peu ce qui se passe avec CLAMP, comme si elles se sont un peu analysées. Et là, il y a une spontanéité qui n'est plus.

Je n'ai pas encore lu Kobato (pas très envie...) et Gate 7 ne m'a jamais attirée. Mais je tenterai ce dernier quand même. Je n'avais pas trop aimé Angelic Layer non plus, et faudra que je relise J'aime ce que j'aime qui, avec le recul, avait un certain caractère encore très CLAMP. Jamais lu Celui que j'aime ni Wish (un jour, un jour).

J'ai lu 2 volumes de Combination, ceux qui ont été faits sous CLAMP d'ailleurs. J'ai beaucoup plus de mal sur le volume 3 Triste . D'ailleurs, dans plusieurs pays asiatiques, seuls les volume 1 et 2 sont sortis sous la bannière CLAMP. Et pas les autres, lorsque Leeza Sei a repris la série seule Surpris .
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Cyril
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Message Posté le : 01/09/13 14:32    Sujet du message: Répondre en citant

Hmm, un manga qui a changé ma vision du manga... Pas évident : au début, je lisais surtout les mangas liés aux DAs du Club Dorothée - et j'en lis toujours d'ailleurs. Peut-être Family Compo qui m'a montré des aspects différente du Japon et m'a incité à lire des seinens.

Pour les relectures, il m'arrive régulièrement de relire toute une série, même si je la connais par coeur (notamment pour certains shônens). Parce que je les aime et que je sais que je vais reprendre du plaisir à la lecture de passages fameux pour certaines ; pour pouvoir les comprendre ou mieux en saisir certaines subtilités pour d'autres (faudra que je relise 20th century boys un de ces jours).
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inico
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Message Posté le : 01/09/13 15:14    Sujet du message: Répondre en citant

Taliesin a écrit:
En parlant nostalgie, y'a-t-il des manga qui ont eu une grande importance pour vous dans votre vie de lecteur/lectrice? Pas forcément un manga préféré, mais un manga qui vous a permis de "passer à autre chose", un peu comme RG Veda et Gunnm qui m'ont ouvert vers autre chose que Akira Toriyama et autres manga au dessins ronds.

J'ai commencé à lire des mangas assez tard (c'est à dire récemment), j'étais auparavant plus bercé par un certain nouveau courant de BD Française (via les éditions Poisson Pilotes, des auteurs comme Blutch).
Les mangas, c'étaient uniquement via bibliothèque, et j'abandonnais la plupart des titres que j'entamais au bout de quelques tomes Pourtant, pas forcément du médiocre, jugez du peu : Evangelion, Eternal Sabbath (pardon Teliesin), Full Metal Alchemist, Fushigi Yûgi, Rough, ...
Jusqu'au jour où j'ai lu Akira.
Je l'ai acheté depuis (en noir et blanc, pas de bêtise) et le relis régulièrement.
J'ai découvert que tout en étant très distrayant, le manga pouvait balayer un nombre de thèmes incroyables et vouloir passer quelques messages forts.
Pourquoi avec Akira et pas un autre titre lu précédemment ? Je ne sais toujours pas. Peut-être une certaine proximité avec les personnages ou une sensibilité déjà acquise aux sujets abordés.
Il m'aura quoiqu'il en soit permis d'aborder les mangas sous un autre angle et de les lire "différemment".
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Taliesin
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Message Posté le : 01/09/13 16:50    Sujet du message: Répondre en citant

@Cyril: Family Compo? Carrément Sourire ! Ca reste un peu la continuité du Club Do finalement Clin d'oeil City Hunter => Cat's Eye => Family Compo. Donc, toi aussi, il t'a fallu en quelque sorte un "truc" pour passer au seinen Surpris (hors Maison Ikkoku du coup, vu que lui, c'est un seinen du Club Do).

@inico: Tu viens donc de la BD indé, et ensuite vers le manga. Pas étonnant que tu ais eu du mal à terminer certaines séries plus tournées shônen Sourire . Et sois pas désolé pour Eternal Sabbath, pour une raison que j'ignore, j'aime énormément cette série, et ce, malgré la fin qui est souvent décrite comme décevante! Mais je n'y peux rien, j'aime beaucoup, au point de les avoir rachetés.

Ca peut être un, ou plusieurs manga vous savez Sourire. Chez moi, si j' "analyse" mon parcours de lectrice, on peut dénombrer certains manga:

- RG Veda: Le choc après avoir lu que des manga, soit du Club Do, soit avec des dessins proches de ceux de Toriyama, à savoir, des dessins plutôt ronds et simples. Je ne m'imaginais pas capable (à 15 ans!) réussir à lire un truc, disons, plus complexe. J'étais vraiment dans l'enfance encore, dans mes lectures, et aussi dans ce que je regardais (films, émissions télé, séries). Et avec RG Veda, ce fut la grande découverte de tout un pan du manga: celui dessiné par les femmes, qu'on appelle, je l'appris plus tard à la sortie de Fushigi Yûgi chez Tonkam, shôjo. Même si j'ai bien dû croiser ce mot dans certains Animeland un peu avant. Un choc que ce RG Veda car je n'imaginais pas lire un truc avec des dessins si compliqués aussi Sourire mais j'ai réussi! Et aussi, aimer un truc écrit par une/des femme(s) (je me prenais pour un garçon, pendant longtemps. Je trouvais ça nulle d'être une fille).

- Gunnm: Peu après RG Veda, et encore une fois emprunté à quelqu'un. Le petit ami de celle qui m'a fait connaître RG Veda, d'ailleurs, en échange, je prêtais mes rares volumes de Dr Slump car il était fan de cet humour complètement absurde Mort de rire . A 15 ans, je dénote que j'ai eu beaucoup de chance de rencontrer quelques fans de manga au lycée, c'était tellement rare les amateurs de manga Surpris (le cannabis, le hard rock, et même Platon, c'était plus fédérateur Mort de rire Mort de rire ). Cette personne me prête Gunnm et aussi Akira, édition couleurs à l'époque. J'appréhendais Gunnm, ne comprenant rien à la science-fiction, et surtout aux robots, et trouvant les planches assez violentes, les dessins hyper sombres. Finalement, j'ai adoré et demandé la suite Surpris ! J'ai donc découvert les seinen, et j'ai compris que ce n'était pas forcément compliqué de lire des titres plus adultes! Par contre, j'ai détesté Akira, mais vraiment. Je ne l'ai aimé que beaucoup plus tard, en noir et blanc.

Après les années 2000, j'ai enfin un peu plus de moyens. C'est l'époque où je fais mes études, et il existait un club manga (yahoo! être une lectrice de manga c'est pas l'handicap social Très content). C'est l'époque où je connais enfin les joies d'Internet Sourire . C'est aussi l'époque des aprèm Fnac quand je peux, et où je lis tout ce qui passe, m'écoeurant même parfois. Mais au moins, je lis de tout (et j'ai racheté tout ce qui m'a plu depuis Clin d'oeil ).

- I'LL: Un manga qu'un pote m'a prêté (un pote de forum par ailleurs). Ce manga m'a longtemps intrigué car il ressemblait beaucoup, graphiquement, à un autre que je n'ai jamais osé lire: Next Stop. J'ai même cru que c'était le même auteur et non, pas le même nom Mort de rire . Avec I'LL, j'ai réalisé que je pouvais apprécier et même avoir l'envie de collectionner un titre qui n'a aucun combat et qui se passe dans la "vie réelle".

- Banana Fish: Un manga tout jaune. Peu épais. Mais dieu, ce que c'est dense O_O. Et choc aussi à la découverte de sa catégorie éditoriale: shôjo. Ce truc. C'est pas un seinen? C'est pas du genre Monster? Mais c'est un thriller! Et ce dessin fait juste pas du tout "fille"!!! Pourtant, j'étais quand même très large niveau shôjo, je prêchais à qui veut l'entendre que oui, X, c'est pour les filles. Mais là, ce fut trop Mort de rire . Un manga commencé en Fnac, jamais continué quand je suis partie à l'étranger, et acheté à mon retour sur Paris car j'ai eu envie de le lire au calme tant c'était dense Sourire. Et puis j'avais mes entrées chez Gibert Joseph, et la possibilité de payer le bouquin 30% moins cher Mort de rire

- Ping Pong: A l'époque où Amer Béton était sorti, les volumes franchissaient la barrière psychologique des 50F. Puis j'avais très peu d'argent de poche Mort de rire . Donc, je l'économisais soit pour un jeu, soit pour Détective Conan. Et Amer Béton, qui m'intriguait beaucoup par son dessin très "street" à mon goût, m'est passé sous le nez. En plus, j'entendais souvent des gens en boutiques manga dire que c'était "pas un manga", et que c'était "de la merde", ce qui achevait vite mes envies de découvrir le truc. En plus, tout le monde disait des dessins qu'ils étaient moches, et je n'osais pas dire le contraire... Pas disponible en bibliothèque municipale à l'époque, personne ne l'avait acheté dans mon entourage, et surtout, pas disponible en lecture sur place en Fnac. Longtemps, j'ai eu cette curiosité Matsumoto. Puis un jour, sur Mangavoraces ou dans ce forum, tout le monde parle en bien d'un certain Ping Pong, du même auteur. Quelque part, il y avait, à mes yeux, cette proximité avec I'LL: vie réelle, sport (mais pas comme dans Slam Dunk), adolescence, rythme "tranquille". Achat en occasion, découverte d'un grand auteur: Taiyou Matsumoto. Ce fut le carnage, j'ai acheté tout ce que je pouvais de cet homme Sourire . Aujourd'hui, je dis "à quand Sunny chez Kana?". C'est aussi un des mangaka m'ayant "décoincée" avec l'idée que certains mangaka sont trop "intello" (je voyais les BD indé comme telles). Je crois que Ping Pong est important, car j'ai même pu lire de l'indé après justement Sourire .

- Blue: Là encore, un autre manga que j'ai acheté en le découvrant sur le forum. J'étais à l'étranger à cette époque, mais je suivais le forum malgré tout. Et de retour à Paris, je vois ce Blue de Nananan d'occasion. En même temps, même époque que Matsumoto, j'avais cette appréhension du titre "intello", prétentieux même, et j'avais un peu une sale image de Boilet et donc de Sakka, ces manga "Télérama" (j'avais une dent contre ce mag et j'en ai toujours peut-être un peu encore pour l'image bourge parisienne qu'il dégage), pour ceux qui n'aiment pas les manga. Mais j'ai découvert, avec Blue, que je pouvais aimer un manga "prétentieux", mais pas que: j'ai acheté un des rares manga qui se déroule dans la vie réelle, sans aucun sport, mais avec une histoire... sentimentale, et sans humour à la con. Une révolution chez moi Mort de rire

Je crois que c'est là tout le parcours de lectrice. Mais rien n'aurait été possible si je ne lisais pas à tous les râtelier: bibliothèque, amis, Fnac. Si je n'avais fait qu'acheter, je me demande si je ne lirais pas que du Shônen Jump. D'ailleurs, aujourd'hui, je ne supporte plus du tout ce type de narration. Je m'en suis aperçue en lisant l'extrait offert de Assassination Classroom, alors que c'était suffisamment barré pour moi Surpris .
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Lisez Descending Stories de Haruko Kumota, tout est dispo en 10 volumes en anglais Très content


Dernière édition : Taliesin le 01/09/13 16:56; Edité 2 fois
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taikun
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Message Posté le : 01/09/13 16:53    Sujet du message: Répondre en citant

Pour ma part, ce fut I'LL de Hiroyuki Asada. Ce manga m'a fait réaliser que je pouvais apprécier un autre genre et style de narration que celui du Shonen. Peu après avoir découvert ce titre, je me mettais à Urasawa avec Monster et 20TH Century Boys Embarassé.
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Le (Re)retour de Ryu Fujisaki, auteur de Hoshin et Shi Ki , Stray Souls chez Pika Edition en 8 tomes Très content

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