[CITY HUNTER]

[Tuc]

Le chapitre avec l'homme mûr à louer est vraiment le seul qui reste en mémoire parce que légèrement atypique, les autres sont sympathiques mais pas inoubliable, il y a quand même des petits details drôles ("vous pouvez venir répéter dans le café, on a des vitres pare-balles ça isole un peu. Des vitres pare-balles ?!"
5 tomes c'est bien, ni trop ni trop peu
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Collection MS
Collection BDovore et Carré Magique

[Cyril]

Le 5ème et dernier tome de ce sympathique spin-off consacré à la vie de cafetiers d'Umibozu et de Miki est sorti. On conclut en beauté avec la présence de Ryo et de Kaori, même si on ne voit pas plus leurs visages dans le tome qu'en couverture. Les chapitres qui let mettent en avant sont particulièrement réussis, avec leurs engueulades et leurs coups fourrés - sans grosse conséquence : on reste dans de la tranche de vie - mais les autres sont aussi très bons, avec une préférence pour "Des plantes suspectes (?)" qui a une chute très drôle.
A noter aussi en fin de tome un bonus de 6 pages dans lequel Esutoemu raconte une représentation d'une pièce de takarazuka sur City hunter à laquelle elle a assisté ; c'est l'occasion pour elle de dessiner les actrices dans leurs costumes et de nous donner ses impressions.

Au final, j'ai beaucoup aimé la lecture de ce spin-off ; il développe des aspects qui étaient déjà en partie présents dans le manga de Tsukasa Hojo et, malgré des dessins très différents, reste fidèle à son esprit. Panini a aussi fait un bon travail, avec une traduction réussie et un rythme de parution rapide très appréciable.

[Gemini_]

Suite et fin de la série consacrée au café Cats Eye et son trop serviable gérant. Ce fût une lecture inattendue, dans le sens où je ne pensais pas apprécier autant. Il s'agit plus d'un manga d'atmosphère, où il s'agit de régler les petits problèmes des clients·es, mais avec la différence fondamentale que les deux baristas sont d'anciens·nes mercenaires, dont une armoire à glace
Le trait d'Est Em fonctionne à merveille pour ce qu'elle cherche à raconter, et le manga n'oublie jamais d'être drôle ; contrairement à Tsukasa Hojo, qui a laissé son humour au placard en quittant la Shueisha, pour se concentrer sur le (mélo)drame. J'aurais pu en reprendre pour quelques tomes, mais en l'état, c'était très bien.
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- Tu es critique. Cela signifie que tu dois classer les films sur une échelle qui va de "bon" à  "excellent".
- Et si je n'ai pas aimé ?
- Ça correspond à bon !