 |
|
 |
Voir le sujet précédent :: Voir le sujet suivant |
Auteur |
Message |
Sever Mangaversien·ne

Inscrit le : 18 Avr 2003 Localisation : Au sud...
|
Posté le : 27/01/07 12:36 Sujet du message: |
|
|
pour moi c'est un vrai plaisir de lire chaque tome de lamu
l'humour est vraiment diversifié sans jamais paraitre répétitif, on ne sait jamais à quoi s'attendre.
dans le tome 10 (que j'ai eu vraiment du mal à trouver en magasin) j'ai particuliérement apprécié l'élection de miss tomobiki, pleine d'humour.
je ce que j'aime particuliérement c'est rechercher les traces d'affection de ataru pour lamu (et la réaction de lamu en retour)
c'est sincérement une de mes séries en cours préférées. |
|
Revenir en haut |
|
 |
namtrac Mangaversien·ne

Inscrit le : 02 Déc 2003 Localisation : The dark side of the road
|
Posté le : 29/03/07 00:59 Sujet du message: |
|
|
Tome 11 : ça commence fort avec une histoire en trois chapitres à la chute inattendue et désopilante, puis on enchaîne avec un récit en deux parties où l'on en apprend encore plus sur les habitudes de Mendo au détour d'une case (nan mais la promenade des poulpes quoi ), et surtout dans le chapitre "L'enfer...ou la jungle du frisson!!". Il a un grain ce personnage, je l'adore ! Sinon ce tome est un festival d'histoires très con et très drôles comme toujours ! Ca se lit d'une traite malgré les 330 pages ^^ (ce n'est pas le cas de tous les tomes, parfois un peu trop denses, mais celui-ci est varié dans les personnages et "thématiques"). Et dans ce volume on a à nouveau droit à un joli moment de tendresse entre Ataru et Lamu ^^ Que du bonheur cette série !  _________________ "Sometimes in our lives, we all have pain, we all have sorrow
But if we are wise, we know that there's always tomorrow"
------------------------------------------------------
http://www.freerice.com/index.php |
|
Revenir en haut |
|
 |
Bp Mangaversien·ne
Inscrit le : 08 Mai 2003 Localisation : Sur la Drina
|
Posté le : 29/03/07 01:03 Sujet du message: |
|
|
Prof d'anglais rules! _________________ ALLIANCE, n. In international politics, the union of two thieves with hands so deeply inserted in each others pockets that they cannot separately plunder a third.
Ambrose Bierce |
|
Revenir en haut |
|
 |
Cyril Mangaversien·ne
Inscrit le : 04 Sept 2002 Localisation : Evry
|
Posté le : 30/03/07 17:01 Sujet du message: |
|
|
Pour la première fois, ce tome m'a lassé car j'ai l'impression de revivre toujours le même type de situation. C'est d'ailleurs le principal défaut des mangas de Takahashi (histoires courtes et Maison Ikkoku exceptés) : ne pas savoir s'arrêter à temps. Même si les histoires, prises individuellement, restent amusantes et intéressantes, elles finissent par perdre de leur charme.
Reste ce que Namtrac appelle le "joli moment de tendresse" Ataru-Lum qui est certainement le meilleur moment du volume. |
|
Revenir en haut |
|
 |
Cyril Mangaversien·ne
Inscrit le : 04 Sept 2002 Localisation : Evry
|
Posté le : 19/08/07 13:15 Sujet du message: |
|
|
Même chose que pour les précédents volumes : les histoires prises individuellement sont agréables à lire, et celle d'Ataru avec le fantôme, notamment, est une vraie réussite. Mais il y a de plus en plus le sentiment que l'histoire n'avance pass et que les personnages n'évoluent pas. C'est vrai pour Ryonosuké qui se bat toujours avec son père pour s'habiller en fille ou pour avoir des informations sur sa mère mais qui n'atteint jamais son but. C'est vrai surtout pour Asuka qui a droit à une histoire en 5 chapitres pour remédier à sa peur des hommes (hormis de son frère) mais qui, au final, se retrouve dans la même situation : 5 chapitres pour rien.
J'espère que le prochain tome amènera quelques nouveautés au lieu de rejouer indéfiniment les mêmes scènes. |
|
Revenir en haut |
|
 |
namtrac Mangaversien·ne

Inscrit le : 02 Déc 2003 Localisation : The dark side of the road
|
Posté le : 19/08/07 13:20 Sujet du message: |
|
|
Cyril a écrit: | C'est vrai surtout pour Asuka qui a droit à une histoire en 5 chapitres pour remédier à sa peur des hommes (hormis de son frère) mais qui, au final, se retrouve dans la même situation : 5 chapitres pour rien. |
Ah non, je ne suis pas d'accord, ce n'est pas "5 chapitres pour rien" puisque l'intérêt de la comédie (ce qu'est Lamu ne l'oublions pas) c'est de démontrer justement que "chassez le naturel, il revient au galop" On aura beau faire semblant d'être quelqu'un d'autre, on aura beau essayer de s'améliorer, au final, on ne se débarrasse pas de ses défauts et de ses psychoses en un battement de cils. Ce qui est intéressant dans Lamu ce n'est pas de montrer la réussite ("oui quand on veut on peut, devenons des hommes meilleurs blabla" cf tout plein de séries et films américains), mais bien de montrer l'échec. _________________ "Sometimes in our lives, we all have pain, we all have sorrow
But if we are wise, we know that there's always tomorrow"
------------------------------------------------------
http://www.freerice.com/index.php |
|
Revenir en haut |
|
 |
Cyril Mangaversien·ne
Inscrit le : 04 Sept 2002 Localisation : Evry
|
Posté le : 19/08/07 14:03 Sujet du message: |
|
|
Le problème, c'est que ce n'est pas un changement de cils mais qu'en 13 volumes (format Bunko quand même), aucun personnage ne semble évoluer (sauf peut-être un petit peu Moroboshi dont on voit de temps en temps quelques aspects positifs).
Au demeurant, je ne trouve pas que
Citation: | l'intérêt de la comédie (ce qu'est Lamu ne l'oublions pas) c'est de démontrer justement que "chassez le naturel, il revient au galop" |
On peut trouver d'autres exemples de comédie dans lesquelles les personnages évoluent progressivement : Love Hina par exemple (attention, je ne dis pas que ce manga est supérieur à Urusei Yatsura), dans lequel Keitaro gagne progressivement en maturité (pas dur vu d'où il part ; mais les personnages d'UY sont à peu près au même niveau). Egalement, dans Orange Road, j'a l'impression que les sentiements des personnages évoluent et qu'ils parviennent à faire évoluer leurs relations (pas dans tous les épisodes ; mais de temps en temps et assez lentement).
Un autre point qui donne l'impression que rien ne change : c'est le temps. Les personnages ne semblent pas devenir plus âgés ; alors que l'histoire se passe dans un lycée, il n'y a pas, sauf erreur de ma part, de changement de classe (c'est la même chose pour Ranma par exemple ; à l'inverse de Touch par exemple ou, dans un autre genre, de Dr Slump). Cela renforce l'impression de stagnation du récit. |
|
Revenir en haut |
|
 |
namtrac Mangaversien·ne

Inscrit le : 02 Déc 2003 Localisation : The dark side of the road
|
Posté le : 19/08/07 14:21 Sujet du message: |
|
|
Cyril a écrit: | On peut trouver d'autres exemples de comédie dans lesquelles les personnages évoluent progressivement : Love Hina par exemple (attention, je ne dis pas que ce manga est supérieur à Urusei Yatsura), dans lequel Keitaro gagne progressivement en maturité (pas dur vu d'où il part ; mais les personnages d'UY sont à peu près au même niveau). Egalement, dans Orange Road, j'a l'impression que les sentiements des personnages évoluent et qu'ils parviennent à faire évoluer leurs relations (pas dans tous les épisodes ; mais de temps en temps et assez lentement). |
Sauf que là ce n'est plus de la comédie pure mais un genre hybride, la comédie romantique. Je parle bien de la comédie, et uniquement de la comédie. Pas d'émotion, de sentimentalité, rien, juste le ressort comique brut. _________________ "Sometimes in our lives, we all have pain, we all have sorrow
But if we are wise, we know that there's always tomorrow"
------------------------------------------------------
http://www.freerice.com/index.php |
|
Revenir en haut |
|
 |
moudidoung Mangaversien·ne

Inscrit le : 24 Oct 2005 Localisation : Louvain-la-Neuve
|
Posté le : 19/08/07 17:03 Sujet du message: |
|
|
D'accord avec Namtrac, ce n'est pas le même genre. On peut comparer UY à Host Club (pas de changement de classe, héros toujours aussi navrants même avec le roi qui s'attache à Haruhi), Yotsuba (vous imaginez Yotsuba qui grandit ? oO enfin ça serait intéressant, mais ce serait plus le même manga)... mais les comédies romantiques ont globalement une narration plus proche de romances réalistes (même en shônen, genre I''s), c'est vraiment un genre hybride, et pour Takahashi il faudrait plutôt voir du côté de Maison Ikkoku : des chapitres plus ou moins indépendants autour d'une situation qui prête souvent à rire, mais une chronologie réaliste et un suivi des sentiments des personnages...
*moudi, qui ne sait pas poster sans commencer par "je suis d'accord avec" * _________________ Close The World, Open The Next |
|
Revenir en haut |
|
 |
cosmos Mangaversien·ne

Inscrit le : 02 Sept 2002 Localisation : Suspended between being a nobody, nothing and everything.
|
Posté le : 19/08/07 17:15 Sujet du message: |
|
|
Sauf que Host Club, c'est drôle, alors qu'Urusei Yatsura... bon, ça peut prêter à sourire parfois
Dans les deux titres on retrouve des personnages stéréotypés, qui se comportent en obéissant à un caractère bien particulier, sauf que dans UY c'en est à un point où ce sont toujours les mêmes actions qui sont répétées (Lamu jalouse grille Ataru, Ataru apparaît de n'importe où pour draguer une fille, le père de Ryunosuke court après elle pour lui brûler ses vêtements féminins, Asuka crie "Kyaaaah" et envoie dans les airs le moindre représentant du sexe masculin qui s'approche d'elle etc.). Et déjà que ça n'était pas forcément hilarant au début, mais alors arrivés à la 15e version ça ne l'est plus du tout depuis longtemps =.=
Dans Host Club les persos se comportent plutôt d'une certaine manière (Kyoya froid et calculateur, Haruhi candide mais en même temps capable d'être très cassante...), mais elle exploitée de différente manière suivant les chapitres. C'est entre autres ce qui fait que ce titre reste drôle à mes yeux. _________________ "Dude, I accept the truth of your lived experiences, and I'm not going to tell you that your feelings were wrong." Squirrel Girl |
|
Revenir en haut |
|
 |
moudidoung Mangaversien·ne

Inscrit le : 24 Oct 2005 Localisation : Louvain-la-Neuve
|
Posté le : 19/08/07 17:28 Sujet du message: |
|
|
Ben, je dirais que c'est une question de goût, pour le fait que ce soit drôle ou pas... et les hôtes ont des réactions très stéréotypées (la drague des filles, le côté comptable de Kyôya, les disputes entre les jumeaux, les mimiques de Tamaki...). Mais je pense que Haruhi est l'élément qui perturbe beaucoup tout ce petit ménage, qui le remet sans cesse en question tout en s'y intégrant. C'est vraiment ce qui met Host Club au dessus des autres oeuvres du genre, je pense, j'adore ce personnage. Or, dans UY il n'y a pas vraiment de personnage aussi central et terre-à -terre, et malgré la grande inventivité de Takahashi dans les situations et notamment les détournements de contes ou de dieux existant, tout le monde stagne un peu et revient donc aux mêmes conflits (genre euh... Lamu et son amie d'enfance) _________________ Close The World, Open The Next |
|
Revenir en haut |
|
 |
Lulu Mangaversien·ne

Inscrit le : 09 Nov 2004 Localisation : La ou je vais(vive mes chansons^^)
|
Posté le : 19/08/07 18:11 Sujet du message: |
|
|
moudidoug a écrit:
Citation: | Yotsuba (vous imaginez Yotsuba qui grandit ? oO enfin ça serait intéressant, mais ce serait plus le même manga)... |
Pas d'accord avec ca: Yotsuba garde une evolution dans le temps. Au volume 1, c'est le début des vacances et nous sommes bientot à la rentrée(ou un truc comme ca). C'est justement ca qui est interessant(que va t-elle faire lorsque toutes ses voisines seront en cours?? Ou alors que va t-elle faire lorsque elle ira pour la première fois à l'école?). Les situations changent, elle apprend de nouvelles choses,...
Mais bon c'est sur que lorsque elle sera grand ce ne sera plus le meme manga. C'est d'ailleurs pour ca que le temps passe si lentement
De meme, dans Azumanga daioh, tout en ne restant que comique, le temps passait (mais choiho n'a pas beaucoup changée de tete en 3 ans ) _________________ ZZZ........ |
|
Revenir en haut |
|
 |
Cyril Mangaversien·ne
Inscrit le : 04 Sept 2002 Localisation : Evry
|
Posté le : 21/08/07 14:33 Sujet du message: |
|
|
Je n'ai pas lu Host Club. Mais on pourrait aussi comparer UY Ã 2 autres mangas, qui sont essentiellement comiques avec aussi du fantastique :
Dans Dr Slump, déjà cité, les personnages ont des caractéristiques qui apparaissent dans tous les volumes : Aralé est naïve et aime se battre, Senbeï est obsédé sexuel... Mais cela ne les empêche pourtant pas d'évoluer : chronologiquement d'abord puisque les héros passent de classe en classe ; mais aussi, en partie, dans leur caractère : lorsque de nouveaux personnages arrivent, ils ajoutent leur propre délire, comme dans UY ; mais, contrairement à UY, ils font aussi évoluer les personnages existants : je pense notamment à la relation entre Tora et Tsururin. Ce n'est pas toujours réussi (la relation Tsukutsun-Akané est un peu tirée par les cheveux) mais, globalement, je trouve que ça marche et limite le sentiment de lassitude.
Autre exemple tiré d'un manga français cette fois-ci : l'excellent Sentaà school : là aussi, on est dans le délire permanent mais les nouveaux personnages apportent quelque chose à l'histoire. Je pense notamment au dernier volume sorti, dans lequel Vipère, qui apporte son propre charme à la série, fait évoluer l'intrigue principale de la saison (l'espionnage de la Sentaï School par Stratéquerre) mais permet aussi à Bibi de se rapprocher de Hongo (ce qui donne lieu à des scènes mémorables). |
|
Revenir en haut |
|
 |
Lulu Mangaversien·ne

Inscrit le : 09 Nov 2004 Localisation : La ou je vais(vive mes chansons^^)
|
Posté le : 07/06/08 09:57 Sujet du message: |
|
|
Lamu 18:
Et voila que Lamu, source inépuisable d'inspiration, aux scénarios, rebondissement et révélations aussi multiples qu'improbables, se termine (c'est jour de deuil, les zamis!!)
Que dire? Ce volume comporte une grande partie réservée à l'histoire finale, la fin de la fin, ou les personnages se retrouvent finalement dans une position assez ressemblante a celle du premier volume mais finalement différente, ce qui montre bien tout le chemin qu'ils ont parcouru( pour notre plus grand plaisir, d'ailleurs^^).
Parlons justement de cette fin, ou nos p'tits bonhommes se traitant de tête de mule (mot qu'on aura beaucoup entendu) et d'idiote partent tout deux vers de nouvelles aventures (le lycee ici XD ) sans que la situation initiale ne soit résolue. Ca rappelle un peu Ranma 1/2. On se demande si Inu-Yasha finira comme ca aussi (enfin, j'ai arrêté de suivre ce manga, donc ca ne part peut-être pas dans la même direction^^"). D'ailleurs tous les potentiels couple sont esquissés mais pas formés. Mais finalement dans un manga comme cela ou seul l'humour compte, pouvait-on vraiment former des couples sans casser l'ambiance de la série? Avoir une fin toute mièvre n'aurait pas été fidèle à l'ambiance lamusienne et l'on sait déja que les couples existent, que dans le fond fond fond ils s'aiment et c'est le principal . Une fin pour moi remplie de nostalgie qui nous renvoit à toute la série et ce que nos héros ont vécus ensemble et vivront dans le futur^^.
Comme la tres jolie illu de chapitre du dernier chapitre ou l'on peut s'amuser à essayer de reconnaître tous les persos qui sont apparus durant la série( ou presque :p).
D'ailleurs en parlant de dessin j'ai été tres impressionée par le dessin de Rumiko Takahashi, aux traits simple mais respectant (presque) toujours les proportions humaines et si l'on voit une évolution du style graphique durant ces 18 volumes (surtout les visages), des le début c'est agréable à regarder, clair et quand on voit sur mangaverse que c'est son premier manga publié, ben chapeau!!
Une tres bonne série donc, malgré quelques chapitres répétitifs, et longueurs, le principal est là , on a passé un bon moment et bien rit en compagnie de ces personnages^^. _________________ ZZZ........ |
|
Revenir en haut |
|
 |
melvin Mangaversien·ne

Inscrit le : 25 Jan 2004 Localisation : Paris
|
Posté le : 07/11/19 22:12 Sujet du message: |
|
|
Je viens de feuilleter la nouvelle édition de Glénat qui compile les chapitres avec des pages couleurs et ça n'a pas vraiment d'intérêt ce truc.
En fait, les pages couleurs ne sont pour la plupart pas vraiment en couleur puisqu'il s'agit des fameuses pages présentes au début des magazines de prépublication avec juste quelques teintes grises et orangées.
Ceux qui ont déjà tout en édition bunko n'auront donc pas vraiment besoin de racheter ce manga car honnêtement au final c'est assez laid.
Quand à ceux qui veulent découvrir la série, cette sélection doit être particulièrement décousue, je me demande ce que cela donne à la lecture avec tous ces chapitres piochés sans autre critère que la prépublication "en couleur"...
Bref drôle d'idée, alors que malheureusement les Rumik Theater ne sont même pas publiés en entier chez nous.
On verra si les plus grands fans de Rumiko Takahashi, comme herbv, se feront pigeonner ! ou pas  _________________ "Music is an indirect force for change, because it provides an anchor against human tragedy. In this sense, it works towards a reconcilied world." Tim Armstrong |
|
Revenir en haut |
|
 |
|
|
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum Vous ne pouvez pas répondre aux sondages de ce forum
|
|