[SUBARU]

[Kali]

Pas grand chose à rajouter aux louanges précédentes.
Mais je tenais aussi à poster pour dire que pour moi , Subaru est une excellent manga très touchant avec son style bien à lui.
Une fois de plus, j'ai été complétement aspiré par la lecture du tome 4 et j'attends la suite avec impatience.
Vivement le tome 5 !

[nathalie b]

Un bémol, cependant, mais qui ne me paraît pas très important car n'empêchant guère d'apprécier la lecture de Subaru: la façon dont sont dessinés les corps pendant les séquences de danse.
Peu de grâce, beaucoup de coudes et de genoux qui dépassent (ça rappelera des choses aux apprenti(e)s danseuses et danseurs de classique! que de coups de batons ça a valu à certain(e)s!!), des corps anguleux et raides, ce qui est tout de même dommage pour un manga sur la danse. Personnellement, je trouve que l'un des plaisirs de Slam Dunk ou Coq de combat par exemple, est dans la remarquable maîtrise de la représentation des corps en action.
Un autre exemple convaincant, et cette fois, il s'agit aussi de danse: les poses de danse de Momo dans Kimi wa pet, sont, je trouve, très réussies.

[marcy]

J'viens de finir le 4 et wao, je me retrouve completement des années en arrière quand j'ai lu les premiers chapitres et que j'ai flashé sur le titre (au point de faire tout pleins de librairie d'occaz au japon pour l'avoir)
Concernant ce volume 4 d'ailleurs, il est agreable de voir l'etat d'esprit de l'heroine page a page, son évolution, ses remarques, son sentiment sur les choses qui l'entour. Concretement ça se repercute sur sa danse, et là je dirais qu'effectivement c'est à l'opposé de ce qu'on peut connaitre. Le ballet c'est la grace et l'elegance, c'est tout sauf des corps qui transpirent et qui emanent une énergie folle (quoique ça dépend des balets). Non pas que je trouve le "vrai" ballet ennuyeux, mais même les plus grand je n'ai jamais trouvé une once de ce qui est dessiné dans subaru (ce qui n'est pas un mal, le manga se serait alors appelé swan et on entre dans autre chose)
Ha oui, le passage sur "ouin on est des etrangers" m'a fait un peu rire, même si en partie vraie, c'est typiquement japonais de penser que le monde entier ont leur façon de concevoir "les étrangers" (je rappelle que pour un japonais, il y a des choses qu'un étrangers ne comprendra jamais") je ne suis pas d'accord avec cette "théorie" et j'ai le doux espoir que le ballet non plus.
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Mieux vaut allumer une bougie que de maudire les ténèbres
Laissez moi vous mordre

[shun]

Subaru 4 et 5

j'ai mis du temps a l'avoir, mais ça y'est, la première partie du tome 4 ma transporté, c'est le mot, j'étais lancé dans l'histoire comme jamais auparavant, les premiers tomes étaient sympa, très prenant, mais me laissait un arrière goûts, qui a totalement disparu, les scènes de danse sont moins fortes car moins exposées mais le manga se renforce sur le personnage, a la moitié du tome j'étais déjà occupé a me dire que c'était le meilleur tome jusque là, sans savoir ce qui allait suivre et qui ma encore plus bouleversé, même si on pourrait parler de surenchère, j'ai trouvé le tout très bien amené, ça me rappelle un peu ki itchi, un tome marquant, j'ai du direct enchaîné sur le tome 5 quelques heures plus tard pour connaître la suite.

Un tome 5 tout aussi passionnant, cette force est magique, mais ne va t'elle pas être mauvaise pour elle ? Elle va devoir se battre contre elle même, elle qui n'avait plus aucune barrière, même si la 3 m partie montre que la subaru "elle" a réussi a convaincre, sur la fin du tome je m'y attendais pas, mais c'est somme toute logique, c'est la seul voie qui lui était possible.

Merci saishu de m'avoir convaincu de continuer car quand je vois ça, je suis émerveillé.
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Groupe facebook de vente manga en Belgique :
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[Kali]

Avec le tome 5 se termine le premier cycle de Subaru.
Ralala, j'en frémis encore.
Subaru est vraiment une de mes séries du moment :
Un dessin qui sort un peu des sentier battus que je trouve vraiment agréable et expressif. Un rythme effréné qui nous entraine dans le sillage de Subaru.
Cette tension, qui ne tombe jamais, est une des clés de mon engouement pour cette série.
Que vont donc donner les tomes suivants??? J'espère que ce second cycle sera d'aussi bonne qualité que ces 5 premiers tomes !

[Adrien de Bats]

Complètement d'accord avec Kali (qui faut que j'appelle car ça fait longtemps qu'on ne s'est pas parlé)!
Subaru est personnellement une des très rares séries qui me font encore frémir d'impatience (j'aimerais bien aussi avoir le prochain tome de Host Club), l'histoire est vraiment magnifiquement menée et on hésite à chaque sur le développement qui va être choisi par l'auteur (car ce tome 5 n'est-il finalement pas assez surprenant? Je m'attendais à beaucoup plus de pathos (remarquez y en a déjà bcp) et bref, superbe!).

Ah là là, c'est aussi un manga qui me serre davantage le coeur à chaque nouveau tome, bref, je suis au bord des larmes bien souvent
C'est vraiment un manga magnifique, pédagogique et didactique (comment expliquer avec des mots simples porquoi la danse contemporaine a été créée, encore que l'explication de l'auteur puisse être relativisée), qui prend aux tripes et qui donnent la pêche!
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J'aime le tofu soyeux.

[melvin]

Je profite de ma chronique Mangavoraces pour refaire un petit focus sur ce manga que beaucoup semblent apprécier mais dont on parle assez peu

Morgan, Laotzi, Saishû (et pour cause ), shun, Heiji, Medulla, Adrien, Kali, marcy et moi-même. La liste des fans s'allonge petit à petit et il y a des goûts assez diversifiés parmi tous ces lecteurs !
Vraiment une très bonne série en tout cas, qui ne cesse pas de nous surprendre et garde un intérêt constant, bravo à Akata pour ce choix.

Sinon pourquoi la texture des couvertures change t'elle sans arrêt (au début les volumes avaient un verni mat puis le 3 et le 6 ont eu un verni brillant), c'est assez bizarre comme packaging !?
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"Music is an indirect force for change, because it provides an anchor against human tragedy. In this sense, it works towards a reconcilied world." Tim Armstrong

[Laotzi]

[Les spoils majeurs ont été masqués]

Subaru, câ??est extraordinaire ! Ca possède le goût dâ??une Å?uvre dâ??apprentissage classique, ça en renferme lâ??odeur, ça en contient la petite musique, ça y ressemble beaucoup, mais ça nâ??en est pas exactement une. Lâ??auteur accumule les situations, les caractéristiques qui, dâ??ordinaire, se retrouvent dans les Å?uvres dâ??apprentissages, et donc, en ce qui concerne les mangas, surtout dans certains shônen. Lâ??héroïne possède ainsi un don, en lâ??occurrence pour la danse, connaît une enfance tragique avec la lente agonie de son frère jumeau, et rencontre un « maître » en la personne de Tatie. Elle connaît un certain nombre dâ??épreuves (remplacer une danseuse dans un corps de ballet puis le concours de Lausanne pour le premier cycle), des rivales qui ne sont ni véritablement des amies, ni véritablement des ennemis. Elle passe par des moments difficiles, voire tragiques, mais elle parvient à se relever. Elle impressionne tous les observateurs par sa danse, malgré son âge, malgré les apparences. Bref, on pourrait presque schématiser lâ??histoire de Subaru de la même manière que beaucoup de shônen dâ??apprentissage. De ce fait, Subaru présente aussi des aspects qui pourrait rapprocher cette Å?uvre de nombreux shônen de style nekketsu, comme cela est déjà développé dans ce sujet par cosmos notamment, c'est-à-dire présentant une forme de dépassement de soi, avec un héros (ou une héroïne ici) qui devient de plus en plus fort au fil des chapitres, et qui présente des caractéristiques exceptionnelles derrière une apparence banale. Cependant, comme le dit Morgan dans sa chronique sur le site, lâ??évolution de Subaru reste néanmoins « logique », dans le sens où elle accumule des années dâ??entraînements, qui, seuls, peuvent donner vraiment corps à son don. Si le tome 5 présente parfois des scènes presque surnaturelles, lorsque Subaru, presque mourante, parvient à monter sur scène et à danser, sa progression reste néanmoins cohérente. Bref, a priori, Subaru pourrait passer pour une simple adaptation de ce type dâ??Å?uvre à lâ??univers de la danse, ce qui mâ??aurait laissé plutôt indifférent.

Or, Subaru ne laisse pas indifférent ! Subaru, câ??est tantôt des pleurs de tristesse, tantôt des pleurs de joie, tantôt des éclats de rires, tantôt des sourires complices, tantôt de la stupéfaction, tantôt de la colère. Subaru est une Å?uvre qui prend aux tripes. Le dessin de lâ??auteur, tout dâ??abord, retranscrit à merveille, non seulement les émotions, mais plus encore lâ??élan vital qui sâ??échappe de la danse de Subaru. Sans jamais rechercher lâ??esthétisme pur, mais, tendant parfois vers le crayonné, il cherche plutôt à être le plus expressif possible et dégage ainsi des émotions vraiment extraordinaires à travers un dynamisme étonnant. La mise en scène de lâ??auteur joue également, à ce niveau, un rôle indéniable. Les doubles pages, ou les pleines pages, sublimes, surgissent, parfois à lâ??improviste, lorsque Subaru sâ??élance dans les airs notamment, renforçant alors les émois suscités chez le lecteur par la vision de son corps en action ou de son visage, à la fois angélique et porteur de profondes souffrances. Ensuite, la maîtrise de la narration renforce également la force de lâ??Å?uvre et la jubilation provoquée. En effet, lâ??auteur utilise, assez fréquemment, les analepses, associant ainsi des moments, souvent tragiques, du passé de Subaru, avec ses mouvements de danse. Certes, cela peut apparaître comme une facilité pour provoquer des émotions. Cependant, force est de constater que cela fonctionne, et surtout, que cela est parfaitement cohérent. Câ??est, en effet, les souvenirs de la maladie de son frère qui donnent à Subaru, non seulement la volonté de danser, mais qui nourrissent sa danse en elle-même. De la même façon, câ??est bien la mort de Tatie qui lui permet de se sublimer lors du concours de Lausanne. Subaru, câ??est donc, avant tout, une jeune fille émouvante, complexe, à laquelle on sâ??attache énormément, du fait de ses fêlures accumulées dans son enfance, qui lâ??ont rendu à la fois très aguerrie mais aussi très fragile. Si les larmes coulent parfois à flots, ce ne sont pas forcément les scènes, en apparence, les plus lacrymales, qui font couler les larmes des lecteurs, mais bien celles où Subaru est en scène et éblouit de son aura la piste de danse.

Subaru, câ??est, encore une fois, la mise en scène de la solitude de lâ??être humain, mais aussi de ses liens indispensables, vitaux avec Autrui. En effet, Subaru est dâ??abord une jeune fille profondément seule, après la mort de son frère jumeau. Sa mère conserve une rancune permanente envers elle, la rendant responsable de la mort de son frère. Le père apparaît quasiment absent. Subaru nâ??a pas de véritables ami(e)s, comme elle lâ??exprime à Takako, à lâ??exception, peut-être des membres du « Palais Garnier ». La seule véritable personne, finalement, qui lui permet de « revivre », ou au moins de « survivre » après la mort de son frère, Tatie, sâ??en va à son tour et la laisse de nouveau seule. Elle ne semble même pas avoir réellement de rivales, car Subaru se situe tellement dans une autre dimension quâ??elles ne « jouent pas dans la même catégorie ». Le concours de Lausanne lâ??illustre parfaitement car si Subaru lâ??illumine, Takako et même Mana sâ??en sortent très bien, et peut-être même, dâ??une certaine manière, aussi bien, mais à un autre niveau. Enfin, lorsquâ??elle se retrouve à New York, Subaru est encore, toujours, seule. On verra comment cela évoluera dans les prochains volumes, mais, comme elle le dit elle-même, et comme le disent également les autres membres de la troupe, ces derniers ne sont pas non plus des amis, simplement des individus qui dansent avec Subaru.

Pour autant, si Subaru connaît indéniablement la solitude, elle est liée, malgré tout, avec Autrui, car son moyen dâ??expression, son moyen de vivre, nâ??existe que dans son rapport avec lâ??autre. En cela, la danse exprime bien le rapport quâ??entretient tout entier Subaru au monde englobant : sur une piste de danse, on est avant tout seul, mais lâ??on danse pour autrui, que cela soit son frère mourant ou de vrais spectateurs. Il y a une scène magnifique, à la fin du tome 5, lorsque Subaru se trouve à lâ??aéroport, quâ??elle pense à son frère et Tatie, et quâ??une petite fille vient lui demander de signer un autographe. Cela montre à Subaru que si ses proches ne sont en effet plus là, si elle demeure indéniablement seule, elle reste néanmoins liée aux autres. Le rapport, ambigu, quâ??elle entretient avec le Corps de Ballet, ou avec les autres membres de la troupe dans le tome 6, développe également une autre facette de ce rapport complexe de Subaru aux autres, de sa difficulté à sâ??intégrer, à se fondre dans un groupe, et donc, dâ??une certaine manière, à faire éclater sa singularité et sa solitude. De même, le vrai défi, pour Subaru, à travers sa danse est, bien de réapprendre à vivre, de réapprendre le désir de vivre, de réapprendre le plaisir, en se nourrissant de ses souffrances, de ses blessures, accumulées dans son enfance au chevet de son frère mourant. Ce don pour la danse, quâ??elle a développé au contact de la mort, pour communiquer avec son frère, devient un moteur pour vivre, ou pour revivre, au point que cela devient lâ??essence même de sa vie.

Finalement, Subaru, ça donne sacrément envie dâ??aller voir un ballet à lâ??Opéra Garnier ! Câ??est peut-être cela, la plus belle preuve de la qualité de cette série. Hymne à la vie, la série est vraiment un concentré de sensations qui ne laisse pas indifférent, qui entraîne le lecteur dans un tourbillon dâ??émotions.

Pour lâ??anecdote, le Corps de Ballet de lâ??Opéra de Paris comprend une danseuse japonaise, apparemment la première de son histoire, nommée Miho Fujii (il y a également Miteki Kudo, parait-il une danseuse assez connue, qui est sujet dans le Corps de Ballet de lâ??Opéra de Paris et qui est franco-japonaise). Pour les curieux, voici un petit lien sur cette danseuse japonaise, dont la vie, heureusement pour elle, nâ??a que peu de points communs avec Subaru. On apprend tout de même quâ??elle a passé ce fameux concours de Lausanne à 17 ans. Sinon, voici un autre lien sur une autre danseuse japonaise, pas membre du Corps de Ballet de lâ??Opéra de Paris mais qui a obtenu la première place au concours de Lausanne en 1993 et qui possède, elle aussi, apparemment, un don exceptionnel pour la danseâ?¦

Laotzi, pas du tout satisfait de son message , et qui aurait encore plein de choses à dire mais qui nâ??a plus le temps de revenir dessus.
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"Il aime la gloriole, les paillettes, les grands mots, ce qui sonne, ce qui brille, toutes les verroteries du pouvoir. (...) Il a des caprices, il faut qu'il les satisfasse." Victor Hugo, Napoléon Le Petit.

[Den]

Subaru tomes 4 et 5 ont effectivement cassé la baraque !
Quelle série...

[Kali]

Tomes 6 et 7 (début du second cycle) :
Alors, après le final terrible des 5 premiers tomes de Subaru, la tension retombe et on se demande bien ce que va donner notre petite japonaise à New York. J'avoue avoir été très inquiète car ayant adoré la première partie, j'ai eu très très peur d'être déçue pour ce second opus. Heureusement, ce n'est pas le cas !
Il est vrai que le début paraît fatalement moins bon, c'est qu'il faut relancer la machine et partir sur un autre volet mais passé ces considérations, j'ai quand même trouvé moins d'intensité et les 3 premiers quarts du volume 6 m'ont plu... sans plus. Pas que ce soit mauvais, loin de moi cette idée après tout on est dans Subaru quand même. Mais c'est juste moins haletant, moins prenant...
Comme je l'ai dit précédement (oui, il n'y a pas trop de suspens ) la suite a été à la hauteur de mes espérances. On se reprend au jeu et on s'engouffre avec Subaru dans le ballet. Ainsi, on retrouve dans le tome 7, toute l'intensité et l'émotion des premiers tomes. On finit par s'attacher aux nouveaux personnages (je ne sais pas vous mais moi ça m'a pris un peu de temps)
Le dessin et l'histoire sont toujours superbes et c'est donc avec impatience que j'attends la suite dans le volume 8 !

[Fo_cube]

Et quelle moment d'anthologie dans la prison Je trouve la tournure du scénario incroyable, il fallais oser inventer une scéne pareil
J'adore aussi l'allégorie avec les extra-terrestre, comme quoi les danseurs seraient les seuls à pouvoir communiquer avec les extra terrestres

[cosmos]

De mon côté, même après le tome 7, je reste légèrement moins emballé par cette deuxième partie. Bon, ça reste bien, mais je ne me sens plus emporté comme pendant la première partie. Du coup j'apprécie tout de suite moins car le côté énorme me saute immédiatement aux yeux, alors qu'avant je m'en rendais compte mais seulement la lecture passée, sinon j'étais complètement pris dedans.

En fait, lorsqu'elle était toute seule, il y a avait pas mal de questionnements qui me parlaient directement car ils faisaient souvent écho à quelque chose que j'avais ressenti (mais dans une moindre mesure, hein ^^;). Maintenant qu'elle est dans le groupe, c'est moins souvent le cas... Ce n'est sans doute pas plus mal, car la voir exulter de savoir tous ces prisonniers aussi jaloux de son bonheur a quelque chose de profondément malsain. Avant on n'enviait pas forcément son sort mais là on se dit qu'elle est vraiment déséquilibrée. Je suis d'ailleurs curieux de savoir si on retrouvera ce côté limite effrayant par la suite.

Mais pour revenir au groupe, je m'étais plus attaché à eux dans le précédent volume, où ils apparaissaient vraiment. Là Subaru revient au centre de l'action donc on ne les voit presque pas, et en plus la plupart de leurs interventions c'est "waaah, mais qu'est-ce qu'elle est douée", façon "entourage faire-valoir" made in shônen.

Sinon, comme Fo_cube, j'ai beaucoup aimé le passage où il est question des extra-terrestres, et plus généralement j'ai hâte de retrouver le personnage qui est introduit à la fin ^^
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"Dude, I accept the truth of your lived experiences, and I'm not going to tell you that your feelings were wrong." Squirrel Girl

[shun]

[Fo_cube]

bah c'est simple je m'attendais pas à cequ'elle fasse pleurer les prisonniers par sa danse !! Et qu'elle aime ça en plus comme une grosse sadique !
On apercoit une facette de la personnalité de Subaru plutôt sombre ça m'a vachement surpris.
Par contre je comprends pas quand tu parles de prévisibilité, Subaru c'est tout sauf prévisible, un manga qui parle d'une ballerine qui offre sa vie pour honorer le souvenir de son frére jumeau comment veut tu prévoir quoi que-ce-soit avec un thème pareil, Subaru peut trés bien claquer dans le tome suivant ça génera pas plus Soda que ça
Elle n'est pas obligé de tous réussir ce qu'elle entreprends (elle s'est même vautrer plein de fois)
Au début j'ai eu peur aussi du commencement de cette deuxième partie mais grâce à l'épisode de la prison je sais que l'auteur va continuer à me surprendre.

[Kali]