[PLUTO]

[otaku62]

Excellent que la lecture de ce tome 6. j'ai vraiment adoré. Urasawa m'a une nouvelle fois surpris. Je ne m'attendais pas à ça spoiler Gesicht qui meurt en retrouvant la mèmoire alors qu'il était le plus proche de l'identité de Pluto...spoiler. Bref, je sens qu'il a retrouvé son niveau de Monster et ça, c'est pas pour me déplaire.
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[taikun]

Pluto Tome 8 : Curieusement j'ai trouvé que ce dernier tome faisait très shônen avec beaucoup d'action. Dans cet ultime tome, on a la réponse aux principales questions posées, ce qui est déjà pas mal pour une conclusion made in Urasawa. Si le tome va dans le grandiloquent avec la menace de fin du monde et tout ce qui va avec, j'ai quand même apprécié cette conclusion. Pour ce qui est de la fin de Pluto, si effectivement, il y a eu beaucoup de bruit pour rien car finalement la vie suis son court et les oiseaux chantent, elle a le mérite parait-il (voir critique Manga-News) d'être quasi-similaire au format d'origine et ca c'est vraiment un bel hommage.
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Le (Re)retour de Ryu Fujisaki, auteur de Hoshin et Shi Ki , Stray Souls chez Pika Edition en 8 tomes

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[sushikouli]

[Shirogane]

[sushikouli]

Je peux pas non plus me planter à chaque fois
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Entre ce que je pense, je veux dire, je crois dire, je dis, ce que vous voulez entendre, ce que vous entendez, ce que vous croyez en comprendre, ce que vous voulez comprendre, et ce que vous comprenez, il y a au moins 9 raisons de ne pas se comprendre.

[Marie]

Je crois que Taikun a raison sur l'impression persistante de lire un shonen (ce qui est logique puisque c'en est un à la base). Mis à part l'action brève et condensée, on retrouve dans ce tome 8 toute la mécanique idéologique du genre comme : l'amitié qui rend plus fort, le bon droit qui fait triompher, l'automotivation par le souvenir des sacrifices, etc.
Il semble que le problème soit justement qu'à cause de ce très grand respect Urasawa n'ose pas aller au bout de son appropriation de lâ??Å?uvre et la fin trop hybride manque de force. Traiter des thèmes simples et idéalistes sensés former des gamins avec la démesure irréaliste d'un shonen, ok. Mais les exprimer dans un environnement adulte et complexe les transforment illico en sermon moraliste cucul. Comme le dessinateur a du métier et que le propos de Tezuka va plus loin que ça évidemment, ils parviennent malgré tout à faire avaler le sirop mais laisse aussi des regrets parce qu'au cours du récit Urasawa était parvenu à offrir un vrai plus.

Soyons honnête, pour ceux qui ont lu les textes des bonus il était clair dès le départ que l'adaptation d'Urasawa ne dépasserait pas de beaucoup le travail de personnalisation de la forme. Et connaissant le bonhomme, il fallait surtout s'attendre à une fin expédiée. Mais bon, je suis malgré tout contente d'avoir fait cette série qui possède plusieurs moments forts et personnages vraiment réussis. Notamment Gesicht qui mériterait une série à lui tout seul ^^

C'est pas tout ça, mais comme j'ai complètement déconnecté de l'actualité manga je ne suis plus au courant de rien. Urasawa a quelque chose en route pour le moment ou pas ?

[sushikouli]

[Marie]

Pas pu m'empêcher d'aller voir quelques images...

Billy Blacksad ? ^^
Urasawa a l'air de bien s'amuser avec l'univers comics oldies. Mais j'aime bien l'aspect brouillon et inattendu de cet auteur et je suis plutôt (haha) curieuse de lire ça en français.
Merci pour les infos Sushi !

[michael]

Après le volume 6 que j'avais trouvé moi aussi extraordinaire, je dois bien dire que les deux derniers m'ont battu froid, surtout le 8 qui fait beaucoup, beaucoup plus léger, voire superficiel. Les révélations tombent et font bailler, une grosse menace désamorcée par le gros happy end de base... Je n'ai ressenti aucune émotion lors de ma lecture (à moins que l'ennui en soit une).

Dommage, ça commençait vraiment de façon enthousiasmante.
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"Rien que d'être vivant, de respirer ce jour-là, c'était une vérité qui était comme un inexprimable miracle".
L'audacieux jeune homme au trapèze volant, William Saroyan

[Drucci]

La pièce adaptée de PLUTO pourrait être jouée en Europe, selon son metteur en scène, Sidi Larbi Cherkaoui, qui revient en détail sur cette adaptation dans l'interview qu'on a réalisée.

Le tout fait deux parties :