Dernières lectures

[kent]

ça m'a exactement fait penser à Bokurano aussi. +1 Aniki.
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Si je meurs, embrasses moi!
Si tu meurs je te rejoindrai
Ma collection :

[Cyril]

Je ne peux pas dire, vu que je ne lis pas Bokurano.

[Meier Link]

Le Cirque des Horreurs de Junji Ito

J'aime beaucoup Junji Ito mais comme il a tendance à être un peu inégal, il est difficile de donner un avis général sur un tome en particulier. Je vais donc donner un avis court sur chaque nouvelle.

Le cirque des horreurs: premier chapitre, qui donne son nom au tome. Probablement parce que c'est un titre accrocheur et passe-partout car cette histoire n'est pas particulièrement réussie. C'est même celle que j'ai le moins apprécié du lot. Un jeune garçon va assister à un cirque durant lequel la plupart des artistes meurent, leurs numéros tournant au drame. Un petit coté Tales from the Crypt pour cette histoire, qui se base beaucoup sur sa chute, malheureusement prévisible. On ne se sent pas concerné outre mesure, ça manque un peu de folie graphique pour du Junji Ito...

La ville aux pierres tombales: un frère et une soeur rendent visite à une amie d'enfance vivant dans une ville étrange où l'on érige les pierres tombales à l'endroit où la personne meure. En chemin, ils percutent une jeune fille qui meurt sur le coup. Du Junji Ito pur jus, très classique mais aussi très efficace. Là encore, on devine plus ou moins comment cela va se finir mais lâ??intérêt reste présent tout du long. Il faut dire que contrairement à la précédente histoire, l'ambiance est cette fois au rendez-vous. Une ville à la route impraticable parce que remplie de pierres tombales, ça fait son petit effet. Très sympa, donc.

La fenêtre d'en face: une histoire très simple et courte (une quinzaine de pages tout au plus) mettant en scène un jeune garçon aux prises avec la monstrueuse dame qui vit en face de sa fenêtre. C'est on ne peut plus simple, peut-être même déjà-vu cent fois, mais j'ai trouvée celle-ci sacrément flippante. La mise en scène des deux dernières pages est excellente. Si je ne dois retenir qu'une histoire du tome, c'est celle-ci.

Les mystérieux enfants Hikizuri: l'amoureux de la cadette: un jeune homme reçoit un appel d'une copine de classe lui annonçant qu'elle va se suicider. Il intervient à temps pour la sauver mais est par la même occasion obligé de lâ??accueillir chez lui, la jeune fille refusant de retourner auprès de ses frères et soeurs. Mais ceux-ci comptent la récupérer. Une histoire un peu à part dans l'oeuvre d'Ito car ne cherchant jamais à réellement faire peur. C'est le coté décalé, l'humour noir, qui priment. Pas forcément un grand moment mais cette histoire à le mérite de se distinguer des autres.

Les mystérieux enfants Hikizuri: la séance de spiritisme: on retrouve la famille Hikizuri qui cette fois tente de parler à leurs parents via une séance de spiritisme. Les divers membres de la fratrie sont un peu plus croqués que dans le chapitre précédent, ce qui amoindrit encore lâ??aspect horrifique. On est clairement en face d'un épisode de la Famille Addams (influence visiblement avoué vu les vêtements d'un des frères, habillé d'un t-shirt à rayures comme Pugsley), en plus glauque. Là encore, ce n'est pas désagréable du tout.

En gros, si vous n'y connaissez rien à Junji Ito, je vous conseille de tenter d'autres tomes puisque deux nouvelles ne sont pas représentatives de ce qu'il fait d'habitude. Et comme la première nouvelle n'est en outre pas terrible, il ne reste plus que "La fenêtre d'en face", qui est trop courte pour valoir l'achat, et "La ville aux pierres tombales". A réserver aux fans du monsieur plutôt qu'aux occasionnels, à qui je conseillerais plutôt Spirale ou La Ville sans Rue si vous voulez des histoires courtes.

[Mokuren]

[melvin]

Run Day Burst 8
Fin de cette petite série assez anecdotique, et au final je suis plutôt déçu.
Bon graphisme, univers sympathique, l'histoire démarre bien et cette course dynamique nous entraîne de façon enthousiasmante dès les premières pages mais la course passe vite au second plan pour quelques flashbacks larmoyants et des personnages secondaires manichéens, sans grand intérêt.
Le dernier tome est emblématique des espoirs non exaucés que j'avais mis dans ce manga. Avec un grand final totalement forcé, rempli de bons sentiments et cousu de fil blanc. Le personnage de numberonederfull central dans ce volume se révèle aussi peu crédible qu'intéressant, je trouvais déjà qu'il gâchait lâ??histoire par sa présence, et bien c'est le cas en 10 fois pire ici.
Les méchants de l'armée de Dice resteront creux et caricaturaux jusqu'au bout.
Une lecture à réserver aux plus jeunes.
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"Music is an indirect force for change, because it provides an anchor against human tragedy. In this sense, it works towards a reconcilied world." Tim Armstrong

[Aniki]

[sushikouli]

[Natth]

A ce sujet, j'avais complètement oublié de le conseiller en dépit d'une précédente discussion... C'est une erreur réparée maintenant.

Cependant, je pense qu'un certain nombre d'oeuvres transcendent l'âge, comme plusieurs Miyazaki (Conan, Kiki, Totoro, Chihiro...), Kemono no souja Erin, Ame et Yuki d'Hosoda, un certain nombre d'animes et dessins-animés des années 80 (Cités d'or, Ulysse 31, Mondes engloutis, Rémi...) ou Princesse Tutu (oui, j'insiste, c'est un anime valable à tous les âges même si le graphisme paraît dire le contraire).

Je ne vais pas critiquer les oeuvres adaptées à un certain âge, surtout quand l'âge est tout petit genre 2 ou 3 ans (et que je ne suis pas dans le bon topic pour le faire). Cependant, les gamins méritent qu'on ne les prenne pas pour des idiots. Il y a mieux que certaines niaiseries gentiment moralisatrices, critique qui ne concerne pas Run Day Burst à mon avis. Au passage, j'ai des souvenirs très clairs de certains titres, mais je peux revoir ces séries sans ennui aujourd'hui pour la plupart. Je ne pense pas être une exception.

Edit : J'ai posté ici, je dois donc parler d'un manga et en plus j'ai une idée :

Pas à pas 1 : Shôjo Sect m'avait saoulée, d'autant plus que j'ai revendu le volume 1 pour quelques dizaines de centimes d'euros. Du coup, j'ai sérieusement envisagé de virer Kenn Kurogane de mes auteurs lisables. Mais j'aurais fait une erreur.

Pas à pas nous raconte l'histoire d'une prof bien intentionnée, romantique, sans doute un peu trop idéaliste, mais aussi d'une élève sensible, un peu perdue vu son entourage familial lamentable, plus réaliste que sa prof même si elle parvient à protéger ce qu'il y a de plus sincère en elle. Le lecteur droit à une romance où les deux héroïnes connaissent d'émouvantes confidences, de petites scènes et une grande douceur où elles parviennent à s'apprivoiser l'une et l'autre. Ce premier volume reste soft, car il s'agit de la construction crédible d'une relation amoureuse. Pour ma part, je suivrai la suite avec attention, sans me soucier de la mauviase impression laissée par Shôjo Sect.

[sushikouli]

J'ai suivi les conseils de SHK et j'ai acheté Coelacanth 1 (Soleil). Alors c'est très beau, mais c'est très chiant. La narration est hyper lente, parfois confuse, y a pas mal de clichés aussi, et le fait que le résumé au dos du tome raconte la moitié de l'histoire annihile le peu d'effet de surprise que pourrait apporter le bouquin... Donc pour l'instant, je ne suis pas super convaincu...
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Entre ce que je pense, je veux dire, je crois dire, je dis, ce que vous voulez entendre, ce que vous entendez, ce que vous croyez en comprendre, ce que vous voulez comprendre, et ce que vous comprenez, il y a au moins 9 raisons de ne pas se comprendre.

[egil]

[sushikouli]

Promis, j'essaye de me soigner Il manque un truc mais j'arrive pas à savoir quoi... Et plus je réfléchi, et plus je me dis que vous vous êtes loupés sur le résumé au dos du bouquin. Il dévoile vraiment trop de choses.

Mais j'achèterais quand même le tome 2, t'en fais pas ! J'ai pas trouvé ça mauvais non plus
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Entre ce que je pense, je veux dire, je crois dire, je dis, ce que vous voulez entendre, ce que vous entendez, ce que vous croyez en comprendre, ce que vous voulez comprendre, et ce que vous comprenez, il y a au moins 9 raisons de ne pas se comprendre.

[egil]

[sushikouli]

[Aniki]

Je me suis pris les 2 premiers GE - Good Ending un peu par hasard (je n'en avais pas entendu parler avant de le croiser en librairie), par affinités avec le trait de l'auteur, parce que l'alliance sport/comédie/romance fonctionne en général assez facilement sur moi et par confiance en Kana (qui me déçoit assez rarement).

C'est une bonne surprise.
Parfaitement classique dans son genre (voire archétypal) mais les dessins sortent du lot, les personnages sont très bien campés et ça avance relativement vite, pour l'instant on ne tourne jamais bien longtemps autour du pot. Le nombre de volumes au Japon me fait un peu peur, mais à voir...

Après, il faut savoir redevenir ado le temps de la lecture, ce qui n'est pas désagréable de temps à autre.

[taikun]

Nozokiana T1 : Kurokawa frappe très très fort avec ce nouveau titre pour la rentrée. Très très fort non pas pour la qualité du scénario mais par l'audace de celui-ci. N'allons pas par 4 chemins, Nozokiana n'a rien à envier aux hentais puisque s'en est un très légèrement dissimulé. Ma première interrogation est de savoir pourquoi le titre est accessible comme ca, facilement, sans être sous blister. Car là où To Love Darkness est sous plastique, Nozokiana lui, peut être feuilleté comme n'importe quel autre titre. Et pourtant, c'est très chaud comme manga. Graphiquement on est très proche de Kenji �iwa (Bienvenue dans la NHK), c'est donc très sympa au niveau du dessin. Le titre en soit est accrocheur, plutôt bien rythmé et se lit d'une traite sans problème. Kurokawa semble vouloir expérimenter un nouveau genre de manga dans son catalogue et on ne peut que saluer cette prise de risque.
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Le (Re)retour de Ryu Fujisaki, auteur de Hoshin et Shi Ki , Stray Souls chez Pika Edition en 8 tomes

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