Dernières lectures

[herbv]

Ben oui, je sais, il y a vraiment du nettoyage à faire. Il faut aussi que je résolve le problème d'envoi du mail pour les sujets suivis qui merde depuis que l'hébergeur a augmenté la sécurité de ses serveurs et désactivé certaines fonctionnalités.

Et il faudrait que je remette en service les archives mais là, c'est du lourd car soit je prends un serveur dédié, soit je monte mon propre serveur
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Simple fan (auto-proclamé) de Rumiko Takahashi
Chroniqueur à du9
Ténia de Bulledair

[Taliesin]

Je viens de lire le volume 1 de Neko mix Genkitan Toraji de Yumi Tamura. Il s'agit d'un manga d'aventure se déroulant dans un univers médiéval et dans lequel l'humanité est en guerre contre des rats dotés de pouvoir magiques dévoreurs de chair humaine (non ce n'est pas L'attaque des titans ). Le héros, Paiyan, est un des sept guerriers du roi. Alors qu'il se rend enfin, après 3 années de bons et loyaux services, dans son village afin de voir son fils et sa femme, il apprend que le village a été attaqué. Son fils est kidnappé par un rat sorcier, seul reste un chaton humanoïde, à l'origine un chaton (normal) recueilli par son fils. Le chaton a été transformé par le rat sorcier, ce qui le dote donc de caractéristiques humaines telles que la parole (mais il reste quand même bel et bien un chat trop choupi...). Toraji (le chat) et Paiyan voyagent donc ensemble afin de retrouver le jeune garçon. Si les deux ont du mal à se comprendre, petit à petit, une relation père-fils va commencer à naître entre eux.

Dans l'univers du manga, il y a d'autres animaux humanoïdes tels des chevaux, des chiens, beaucoup de chats aussi, des hiboux, etc... Ils peuvent communiquer avec les autres animaux de leur race non humanoïdes, mais vivent comme des humains (pudeur, besoin de vêtements, marche bipède, etc...). Yumi Tamura en profite clairement pour faire du fan service félin dans ce manga, tant Toraji est adorable (des moments où il dort, il baille, ses yeux, ... mon dieu). En même temps, le manga est prenant et elle n'oublie pas d'y inclure une histoire. Le tout se lit donc avec beaucoup de plaisir, on a un manga d'aventure fantasy, avec beaucoup d'émotions comme sait le faire Tamura, sans pour autant rendre le tout mièvre, un peu comme dans 7 SEEDS. Je pensais lire un manga clairement mineur, un délire sur les chats comme font souvent les mangaka, et je n'ai pas été déçue de mon achat.

Le héros, Paiyan (physiquement un Shuri ou un Arashi...) est un homme naïf qui va devoir mûrir et grandir un peu pendant le voyage. Tout n'est pas blanc ou noir en temps de guerre, ce qu'il finira par comprendre petit à petit. Il apprendra aussi à s'occuper d'un enfant, chose qu'il n'a jamais pu faire avec son fils qu'il a dû quitter juste après sa naissance afin de servir son roi. D'ailleurs, le roi est un personnage cruel et plutôt égoïste de ce que j'ai pu voir, refusant chaque fois d'accorder à Paiyan une permission pour voir sa famille. Il a l'air louche aussi.

SHK disait que ce manga n'est pas mignon. C'est vrai que les scènes où les rats mangent des humains (avec les jambes qui dépassent de la mâchoire ) peuvent évoquer L'attaque des titans. On ne sait pas vraiment comment les rats ont commencé à avoir ce type de pouvoir (se transformer en géant, prendre forme humaine aussi). Le volume 1 a été scantradé en anglais pour les plus curieux.

La série es toujours en cours dans le Zôkan Flowers (merci Heiji ). C'est une série à parution lente, je crois qu'il doit y avoir un volume par an. Pour le moment, 6 volumes sont sortis.
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Lisez Descending Stories de Haruko Kumota, tout est dispo en 10 volumes en anglais

[shun]

manga of the dead chez tonkam:



après 2 mois de commande de mon libraire en Belgique, il ma finalement conseiller de passer par amazon ! car le distributeur nie l'affaire ... après on s'étonne des ventes!
finalement j'aurais peut être dû suivre le mouvement et laisser tomber tant le titre est mauvais :/ du survival ? non ! de l'horreur ? non ! des scènes de sang ? oui et seulement ça, y'a 2 histoires "sympa" pour être gentil mais c'est tout c'est creux et malheureusement même très creux et pour certains auteurs il s'agit juste "d'illustrations" ... a oublier, l'idée était alléchante mais le résultat est a 1000 lieux.

[Heiji]

[Taliesin]

Je compatis shun . Ces derniers temps, tu n'as rien lu qui te plaise énormément on dirait, pauvre compte en banque (ou non?) .

Merci Heiji, j'ai complètement confondu . Elle parlait de "fleurs" dans les mots d'auteur en chinois, et j'ai donc transformé ça en "flowers" Après, il est possible qu'il y ait eu un idéogramme avant et que j'ai juste pris ce que je connaissais, ça me ressemble bien ce genre d'attitude.
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[shun]

mais non ^^ j'ai adoré le premier tome de assaination classroom ( même si j'ai détesté autant le 2 :p )

josephine 1-2

je découvre pour ma part l'histoire, je connaissant pas du tout la vérité sur la révolution excepté ce que j'ai vu en film ou lu c'est donc assez intéressant de ce côté là car j'ai l'impression de connaitre une suite a ce qui était raconté dans lady oscar justement.
le côté bouclette j'adore ça donc pas de prob et malgré ce côté gentillet, le sang est présent quand c'est nécéssaire, il faudra donc voir la fin pour juger vraiment l'oeuvre
quelqu'un a lu roméo et juliette de chez isan ? car pour l'instant je n'ai garder que georgie de l'auteur, ceux étant sorti chez taifu a l'époque était "passable".

[Cyril]

Mouais, je n'ai pas lu le manga (et n'en ai pas l'intention) mais je pense qu'il faut rester assez méfiant, surtout si Joséphine de Beauharnais est peinte en héroïne, victime des complots des uns et des autres. Lady Oscar comporte aussi son lot d'approximations ou d'interprétations discutables (ce qui ne l'empêche pas d'être un excellent manga).

[shun]

je ne le prend pas a la lettre ou encore comme un cour d'histoire, mais plus que comme ça existe le cachet est plus valorisant pour l'histoire.

[Heiji]

[cosmos]

A fleur de peau #13 ~ Un peu moins emballé par ce tome, comme par le précédent. Natsume et �tomo se voient moins et ont plus d'occasions de douter de leur attachement réciproque, Kana revient sur le devant de la scène et Kô n'est jamais très loin non plus... On se rapproche de plus en plus d'une histoire vue et revue avec une héroïne qui hésite entre 2 garçons, lesquels pouvant être dragués par d'autres filles encore etc. Alors qu'à l'origine le titre parlait d'une jeune mannequin toute tokyoïte brusquement transférée à la campagne, qui devait faire face à ce nouvel univers, gérer sa carrière et sa célébrité en plus de ses cours, le tout avec une sensibilité totalement exacerbée. Et puis rapidement, la mangaka a introduit une presque histoire de viol qui a rendu son titre plus sombre mais aussi très intéressant, tant le viol d'un personnage féminin est devenu un cliché utilisé à outrance dans trop d'histoires et avec sans doute beaucoup trop de légèreté. Là elle s'est longuement attardée sur les répercussions de cette histoire, la façon dont elle a été perçue, déformée... voire oubliée.
Du coup c'est avec une petite pointe de déception qu'on voit l'histoire se rapprocher d'une intrigue amoureuse beaucoup plus banale. Mais la sensibilité de l'auteur sauve le titre : que ce soit le regard d'un photographe pour Natsume, la lecture du Mythe de Sisyphe de Camus pour Kana, ou dans une moindre mesure la musique pour �tomo, c'est l'Art qui révèle les personnages, les met face à eux-mêmes et leur permet de mieux comprendre ce qu'ils ressentent, et ainsi d'avancer.


Le voleur de visages ~ Un recueil de Junji Ito lu grâce à la bibliothèque. A part pour Spirale qui m'avait plus accroché grâce à son intrigue suivie qui s'étalait sur 3 tomes, Junji Ito est typiquement le genre d'auteur que je ne vais pas forcément vouloir acheter mais que je suis quand même bien content de pouvoir lire. Dans ses histoires, on ne sait jamais à quoi s'attendre : il n'y a pas de héros qui triomphent du mal (c'est même plus souvent l'inverse), pas forcément de conclusion logique, juste l'imagination débridée d'un mangaka qui nous emmène un peu où il veut et souvent dans le glauque. J'ai sans doute passé l'âge d'avoir vraiment peur en lisant ces histoires, mais le papy de Mes ancêtres, brr... Bref, ce bon bol d'air vicié fait un bien fou entre 2 récits beaucoup plus formatés


Kitchen #1 ~ un manhwa culinaire qui me tentait depuis longtemps, mais j'ai tendance à me méfier des Å?uvres qui présentent des cuisines très exotiques : ne pas connaître les plats diminue un peu l'immersion, et quand on essaie de refaire certaines des recettes présentées, v'là la galère pour se procurer les ingrédients. En plus Kitchen bénéficie d'un trait correct qui ne dépaysera pas les lecteurs de shôjo/josei, mais souffre d'une colorisation numérique très très cheap. Et les récits sont extrêmement courts, donc un peu tout ce que je déteste. Heureusement que la bibliothèque est passée par là, car ce fut une excellente surprise. L'auteur parle certes parfois de plats qui nous sont totalement étrangers, mais le plus important dans ses histoires ce ne sont pas les plats en eux-mêmes, c'est ce qu'ils représentent : un souvenir d'enfance, une preuve d'amour, un moment partagé... Des sentiments assez universels finalement, et qui lui permettent de toucher le lecteur en à peine quelques pages. Le fait qu'elle raconte une petite anecdote à la fin de chacune d'entre elles renforce ce sentiment de proximité et de chaleur.


Journal d'une disparition ~ Un one-shot au graphismes très enfantins mais qui, comme le titre permet de s'en douter, traite de sujets qui ne le sont pas du tout. Dans ce récit autobiographique, l'auteur raconte ses 2 fugues durant lesquelles il a vécu comme un sans-abri avant de devenir technicien du gaz, puis son travail de mangaka et les circonstances qui l'ont amené à s'enfuir, et enfin son séjour dans un hôpital où il fut traité pour alcoolisme. Présenté comme ça, on peut s'attendre à un récit assez dur, cru, sombre... sauf que pas du tout. Graphiquement le mangaka a un style très rond, très doux, un peu rétro et le ton qu'il emploie rappelle celui d'un enfant qui raconterait sa colonie de vacances à ses parents dans une carte postale. Sauf qu'ici il n'est pas question de poney ou d'escalade mais, par exemple, d'une tentative de suicide ratée et de la façon de trouver les meilleures poubelles. Le tout décrit de façon assez instructive et bon enfant (si vous vous retrouvez à la rue, vous saurez comment faire maintenant ; si vous vouliez en savoir plus sur les conditions de travail d'un mangaka, vous apprendrez des trucs aussi), l'auteur occultant volontairement ce qui n'était "vraiment pas très drôle".
Je ne trouve pas que son approche soit fondamentalement supérieure à celle d'un autre, mais à une époque où c'est très tendance de faire dans le sombre et réaliste, comme si c'était forcément plus mûr, plus adulte, je trouve ça intéressant qu'un auteur prenne un parti pris opposé et impose l'air de rien un certain point de vue. Qu'il nous rappelle que l'artiste fait le choix de ce qu'il veut montrer et garder sous silence, qu'il n'est pas tenu à un résultat le plus réaliste possible et qu'il peut livrer un résultat tout à fait convaincant quand même.
Le fanatique du ressenti des personnages en moi se demande quand même comment sa femme a réagi suite à ses deux longues fugues successives (à la suite desquelles il est quand même rentré vivre avec elle). Cela fait sans doute partie des moments "vraiment pas drôles" sur lesquels il ne s'est pas étendu, mais j'aurais bien aimé savoir ce qu'elle a ressenti à ces moments-là (et pourquoi elle ne l'avait pas largué depuis longtemps).
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"Dude, I accept the truth of your lived experiences, and I'm not going to tell you that your feelings were wrong." Squirrel Girl

[Taliesin]

@cosmos: tu me fais peur pour A fleur de peau ... Mais depuis déjà quelques volumes, avec Otomo, j'avais déjà peur de cette évolution en "shôjo de base". Enfin, reste toujours cette sensibilité comme tu le dis si bien .

Pour ce qui est de Kitchen, il y a eu un sujet dédié ici: http://forum-mangaverse.net/viewtopic.php?t=7040 . Moi aussi j'ai adoré les 2 premiers volumes, c'est vraiment bien fichu. Aucune nouvelle du volume 4 pour le moment d'ailleurs...
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[Spawn]

En plus de mes interrogations sur Princesse Kaguya sur son topic, j'aimerai savoir si des gens ont lu Tokyo Ghoul et leur avis sur ce manga.


J'aimerai aussi savoir apres si 30 volumes de la Goutte des Dieux et 5 de Chihayafuru (ou plus pour ceux qui suivraient la version jap ou les scans) les 2 series etaient prenantes (oui... je cherche le digne heritier de mon Hikaru no Go d'amour. Et a leur sortie en France ces 2 mangas furent presentés comme tel dans leur domaine)

MERCI d'avance
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Le Go est sans fin.
on ne peut qu'y avancer pas à pas, recherchant la lumiere.
Le labyrinthe du go me tient pour toujours.
Je n'ai pas encore atteint le coup divin...

[herbv]

Les Goutte des Dieux, après 30 volumes, c'est comme le premier ! L'avantage, si tu n'accroche pas au premier ou aux deux premiers tomes, tu peux arrêter. En bref, c'est une lecture distraction, très shônen mais avec des adultes. Il ne faut rien lui demander d'autre et c'est à lire à petites doses tant c'est répétitif. Mais bon, je trouve ça amusant, ça délasse.

Chihayafuru, c'est un peu différent. Mais là aussi, ça reste une lecture superficielle tant les événements et les personnages sont convenus. Moi j'aime bien, comme lecture légère. En bref, c'est une lecture distraction, très shônen mais avec de la romance puisque qu'il faut en absolument vu le nom du mag josei de prépub (le Be-Love).
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[Flore]

Je suis plutôt d'accord avec ces deux avis. Les Gouttes de Dieu, tu peux prendre un peu où tu veux comme tu veux, c'est toujours pareil Après, c'est délassant, pas prise de tête et très très très joli, mais pas non plus ultra passionnant. (Je sais que le go, c'est pas ultra-dynamique, mais des mecs qui parlent en buvant, ça l'est encore moins XD)
Chihayafuru est effectivement une lecture légère, mais c'est assez efficace et prenant.

[kent]

Je plussoie pour Les Gouttes de Dieu, j'en ai lu une vingtaine et j'ai arrêté. Au final, j'étais mille fois plus intéressé par le vin en lui-même que l'histoire et je lisais avec avidité les pages bonus jusqu'au tome 12 environ mais après, c'était juste ...lassant.
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Si je meurs, embrasses moi!
Si tu meurs je te rejoindrai
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