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Gemini_
Mangaversien·ne


Inscrit le : 03 Fév 2011

Message Posté le : 10/12/14 21:28    Sujet du message: Répondre en citant

Cyril a écrit:
Vas-y, Julie

Ce manga m'intéressait, mais voyant qu'il s'agissait d'une adaptation de la série d'animation, j'ai préféré passer mon chemin.
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- Tu es critique. Cela signifie que tu dois classer les films sur une échelle qui va de "bon" à  "excellent".
- Et si je n'ai pas aimé ?
- Ça correspond à bon !
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Cyril
Mangaversien·ne


Inscrit le : 04 Sept 2002
Localisation : Evry

Message Posté le : 11/12/14 07:08    Sujet du message: Répondre en citant

C'est vrai que les adaptations de série animée sont rarement de qualité mais celle-ci reste sympathique.

D'après Wiki, il y a eu un autre manga, fait aussi en même temps que la série télé et comportant 2 tomes.



Au vu des couvertures, le manga semble plus dynamique (même si le manga proposé par Black Box n'en manque pas non plus), notamment en ce qui concerne Michel-Zero et sa moto sauvage Mort de rire. Mais j'aurais eu du mal à me faire au design de Floppy-Kishinosuke.
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melvin
Mangaversien·ne


Inscrit le : 25 Jan 2004
Localisation : Paris

Message Posté le : 16/12/14 16:07    Sujet du message: Répondre en citant


20 ans après avoir commencé la série (quand j'entrais au lycée), elle s'achève enfin ! Choqué
C'est assez troublant comme rythme de parution, mais Evangelion gardera toujours une aura particulière pour moi. Toute une époque : celle de la découverte des mangas !
La fin est étrange mais après la déception de l'anime à l'époque je suis plutôt satisfait. Une relecture s'impose pour savourer l'oeuvre en entier. Surpris
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"Music is an indirect force for change, because it provides an anchor against human tragedy. In this sense, it works towards a reconcilied world." Tim Armstrong
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Cyril
Mangaversien·ne


Inscrit le : 04 Sept 2002
Localisation : Evry

Message Posté le : 16/12/14 22:30    Sujet du message: Répondre en citant



J'ai bien aimé ce gros pavé portant sur un des mes personnages préférés de l'univers de Matsumoto. Ca commence quand même bizarrement avec une préface qui considère qu'Emeraldas est rousse. Si la couleur de ses cheveux a parfois changé dans les versions animées, elle est surtout blonde dans les dernières versions et elle l'est également dans ce manga (couverture et quelques illustrations couleur).

Sur le fond, l'intérêt du manga vient, à mon avis, du croisement de plusieurs intrigues : le passé d'Emeraldas, notamment lorsqu'elle découvre son vaisseau puis lors de sa rencontre avec Tochirô ; son présent, avec un certain nombre de combats contre des adversaires divers, l'impitoyable femme-pirate ne faisant pas de quartier ; et Hiroshi, un adolescent impétueux décidé à atteindre son objectif (en l'occurence voyager dans l'univers). Les rencontres entre les deux personnages sont souvent intenses, Emeraldas appréciant la détermination du jeune homme (tout en pensant avoir à le tuer à la fin ; fin d'ailleurs absente du manga, comme d'habitude Mort de rire ) alors que celui-ci souhaite être indépendant sans en avoir toujours les moyens

Les scènes de combat, spatial, à l'arme blanche ou au pistolaser, sont nombreuses et l'ambiance est souvent sombre. On n'échappe pas non plus aux célèbres "lois de l'univers" de Matsumoto à la fin des différents chapitres. Déjà vus également sont les derniers chapitres (pas désagréables pour autant) avec les ancêtres d'Albator et d'Emeraldas, déjà pirates (mais rivaux cette fois) et luttant contre le gouvernement. Les équipages de ceux-ci ont quand même le mérite d'apporter pas mal d'humour et rendent finalement la lecture très plaisante
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namtrac
Mangaversien·ne


Inscrit le : 02 Déc 2003
Localisation : The dark side of the road

Message Posté le : 19/12/14 14:24    Sujet du message: Répondre en citant

Mikado Boy T.1 : le pitch de Glénat avait attisé ma curiosité et je me suis donc laissée tenter.

Bon. Pour les scènes d'action à couper le souffle (non mais lol quoi) on repassera, mais j'ai beaucoup aimé l'ambiance et le côté shônen ai. Le ton reste assez léger, les personnages sont sympathiques / mimis / rigolos. Les dessins sont jolis, même si l'auteur ne maîtrise pas toujours ses portraits (voir le héros qui prend 10 ans d'âge sur les gros plans alors qu'il avait jusque-là la bouille d'un pré-ado...). Comme c'est un tome de mise en place, on se concentre plus sur les relations avec les héros que les "mystères insolubles" pour l'instant, mais le côté espions en culottes courtes est déjà pas trop mal exploité. Ce n'est pas du grand récit à suspense mais la lecture accroche pas mal du tout Sourire

J'ai un peu de mal à décrire mes impressions en fait... en tout cas j'ai bien aimé. Et vu que la série est courte, je continuerai jusqu'au bout a priori.

Une lecture à tester Sourire
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Taliesin
Modératrice


Inscrit le : 01 Fév 2004

Message Posté le : 23/12/14 13:33    Sujet du message: Répondre en citant



Je répertorie les avis du sujet sur La vie de Raffaello Santi dit Raphaël de Machiko Satonaka, une shôjo mangaka des années 70 très célèbre au Japon, de la même génération que Moto Hagio, Yumiko Igarashi, Waki Yamato, Riyoko Ikeda. Elle ne s'apparente pas au groupe de l'an 24, et a un style plus classique. Pour en savoir plus sur elle, voir cet article sur l'excellent blog Manga Talks.

Cyril a écrit:
La vie de Raffaello Santi dit Raphaël : pas de mensonge dans le titre, on est dans un manga biographique avec quelques rares aspects fictifs recensés dans les très intéressantes postfaces (de l'auteur et d'un historien). On y suit donc la vie du peintre de sa naissance à sa mort. Le personnage a une personnalité, ou plutôt une absence de personnalité, surprenante pour un génie. Tout au long du volume, on le voit ainsi accepter toutes les demandes, que ce soit celles de certaines dames ou de ceux qui lui passent des commandes, ce qui finit par l'épuiser ; il n'y a pas de véritables drames ou d'événements majeurs changeant sa façon de vivre ou ses objectifs (ou du moins les quelques événements qui pourraient jouer ce rôle ne sont pas décrits de façon dramatique).

Cela contraste avec les deux autres génies de l'époque, Michel-Ange et Léonard de Vinci, que l'on voit également à plusieurs reprises dans le volume. Si cette faiblesse est parfois agaçante, elle finit cependant par le rendre attachant. On comprend mieux sa motivation, la façon dont il aborde l'art et ses objectifs, sa douceur qui est bien retranscrite dans les dessins de la mangaka. Au final, le manga n'est pas exceptionnel mais reste agréable à lire et instructif.


Natth a écrit:
Pour ma part, c'est surtout le cheminement artistique du personnage qui m'a plu dans cet ouvrage. Il se mélange à son évolution humaine, si bien que toute la vie du peintre semble impliquée dans son oeuvre. Les figures de Michel-Ange ou Léonard de Vinci soulignent une autre façon de comprendre l'art, sans s'arrêter à la peinture vu que l'on parle aussi de sculpture. Les postfaces sont très intéressantes pour expliquer la façon dont l'auteur a abordé le personnage historique de Raphaël.

Les différentes oeuvres, principalement des tableaux, sont bien intégrées au fil du récit, en servant de base aux réflexions des personnages. Malheureusement, elles sont souvent très sombres quand on les voit en entier. J'ignore si cela vient du manga original ou de l'édition française. Mais ce n'est pas le cas de tous les dessins. Quand elle ne reproduit qu'une petite partie d'un tableau pour illustrer un point précis, l'image est bien plus claire.


Ca fait longtemps que j'attendais la sortie de cet opus, pour le nom de la mangaka à vrai dire. Et aussi parce que les sorties de vieilles mangaka sont assez rares en France (je n'ai pas encore acheté Les femmes du zodiaque de Miyako Maki, je sais, et il ne faut pas s'y pencher juste parce que c'est la femme d'untel...). Satonaka est surtout connue pour ses manga historiques aux accents hyper romantiques, avec des histoires de coeurs impossibles, évidemment, et dramatiques. On retrouve un peu de cela dans ce one-shot consacré à Raphaël d'ailleurs.

Mon avis rejoint assez celui de Cyril à vrai dire. Le récit est très facile à lire, et même agréable à lire, avec une narration fluide. On rentre vite dedans, mais j'ai trouvé le tout un peu sans éclat. Après, je ne me suis pas ennuyée, je trouve même le tout bien construit, et puis c'est didactique. Comme le dit Natth, je trouve que Satonaka rend bien le côté cheminement artistique de Raphaël. Je ne connaissais pas ce peintre (oui je sais...) pour ma part, et j'ai été étonnée par son côté sans caractère dans le manga, surtout à côté d'un Léonard ou d'un Michel-Ange (j'adore ce mec bourru et un peu brute ^^ ). Son caractère doux et gentil, ne sachant jamais dire non, m'a quelque peu agacée, surtout pour le côté histoire de coeur. Il y a quelque chose d'assez vintage dans cette histoire (qui est sortie dans les années 90): l'enfance de Raphaël fait penser à une série de la NHK, ses histoires d'amour tragiques, ou encore la manière d'écrire les personnages. Un truc qui m'a quand même un peu soûlée, c'est le fait de voir constamment des femmes à l'air passif, toujours en train de chialer, toujours dans le "care". Peut-être parce que c'est la Renaissance, peut-être parce que Raphaël est le héros? Ou bien c'est une constante dans l'oeuvre de Satonaka? Je ne saurai sans doute jamais.

L'édition Black Box n'a rien de particulière mais je n'aime vraiment pas la couverture française avec les anges sur chaque côté du titre, la police utilisée, la bordure blanche en bas du livre avec le nom de la collection et le logo de l'éditeur, le montage du tableau réaliste avec un Raphaël croqué par Satonaka Mort de rire . Chaque fois que je regarde cette couverture, je ne peux m'empêcher de la trouver... laide Mort de rire (et ridicule même). J'ai aimé le fait d'avoir une postface sinon, mais j'aurais aussi aimé plus de choses sur l'oeuvre de Satonaka en général.


Rien à voir, mais l'extrait de Haikyû!! les as du volley m'a beaucoup plu graphiquement Surpris .
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Franswa
Mangaversien·ne


Inscrit le : 11 Fév 2006
Localisation : Lyon

Message Posté le : 23/12/14 14:12    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai aussi lu le one-shot "La vie de Raffaello Sant di Raphaël" paru chez BlackBox.

A la base, j'ai acheté le titre sans avoir de grosse attente vis à vis de lui, mais vu que je me plains souvent qu'on a pas assez d'Å?uvres oldschool de certains auteurs, j'allais pas bouder quand y en a un qui sort.

Et ben au final, ca a été une excellente surprise. On a une jolie biographie romancée du peintre Raphaël. J'ai aucune affinité particulière avec la peinture et pourtant j'ai lu le tome avec beaucoup d'intérêt. Déjà, j'ai trouvé le chara design attirant (ça fait très shôjo des années 80, même si ca date de 1996, donc faut aimer bien sur) et la narration est bien menée ce qui aide énormément pour rendre le sujet intéressant. J'ai pris beaucoup d'intérêt à suivre la quête artistique de Raphael et sa vie perso assez compliquée. Simple, efficace, bien mené, ce n'est pas la sortie de la décennie mais ça se lit d'une traite et on pas envie de lâcher le morceau un instant.

Je salue en tout cas l'initiative de Blackbox d'aller sur ce créneau pas vraiment rentable et j'aimerai vraiment des sorties d'autres auteurs de la même veine.

A part çà, de BlackBox, je n'avais lu que leur premier titre édité à savoir "Comment ne pas t'aimer?" et ben, en comparaison, même si l'édition n'est pas parfaite (et même cheap), c'est le jour et la nuit avec précédemment (l'édition était de qualité affreuse pour "Comment ne pas..."). Ca rassure de voir l'amélioration.
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Taliesin
Modératrice


Inscrit le : 01 Fév 2004

Message Posté le : 23/12/14 14:27    Sujet du message: Répondre en citant

Je ne pouvais pas non plus bouder ce titre Sourire . La narration est efficace en tout cas et on se laisse vite porter par le récit! Seul Comment ne pas t'aimer a cette mauvaise qualité d'impression, l'amélioration est déjà visible sur les titres sortis juste après, toujours de Masako Yoshi.
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Taliesin
Modératrice


Inscrit le : 01 Fév 2004

Message Posté le : 13/01/15 00:19    Sujet du message: Répondre en citant



J'avais lu le volume 1 il y a bien longtemps sans grande conviction. Je veux dire c'était chaleureux, sympa, charmant par les dessins si doux de Kouno. Mais encore? On voit une femme se marier, aller dans sa nouvelle famille qu'elle n'a pas choisi, quitter sa propre famille. Mais cette femme est étourdie, profondément gentille et manie le dessin comme personne. Je crois que dans le volume 1, j'ai été touchée par son amitié avec Rin du quartier des plaisirs. Le volume 2 se plonge vraiment dans les réalités de la guerre avec ses raids aériens, la mort est bel et bien présente mais le ton est toujours aussi doux, comme toujours chez Kouno. Et c'est peut-être ce qui rend cette oeuvre si dure, si forte. Je n'ai pas trouvé l'émotion surfaite, loin de là. On est dans la sobriété, la vie est cruelle, c'est poignant et sans pathos. Ceci dit, l'espoir n'est jamais loin. Et la fin, avec cette double page couleur est juste merveilleuse. Je pensais à le revendre, mais je n'en suis plus si sûre. En tout cas, c'est long à lire, il y a plein de notes et précisions historiques Sourire . Je pense que la relecture du volume 1 apportera quelque chose de plus à ces petits moments de bonheur du début Sourire . Et les aventures du démon de frère ^^ . Une lecture émouvante Sourire .




J'ai lu le volume 4 il y a plusieurs mois. En tout cas, j'avais aimé malgré l'intrigue sur le clan de Shirô. J'ai donc acheté le volume 3 et... je dois dire que je l'ai trouvé excellent!!! Nao continue donc dans ses enquêtes qu'on croit fantastiques, mais toujours avec des personnes ayant complètement perdu l'esprit. L'épisode avec les boîtes est juste magnifique, que ce soit graphiquement ou dans l'histoire même très chouette. La seconde enquête met en avant le monde du show biz et de l'apparence, le problème du vieillissement et de jalousie dans cet univers. Encore une fois, ce n'est pas mal du tout. Enfin, le dernier épisode nous introduit vers le volume 4 soit le clan et cette drogue qui leur est indispensable. On y retrouve le très "sexy" ou cambré Anri. Mais surtout, au-delà des enquêtes et des dessins toujours superbes (rhooo ces cadres, ces compo!!!!), je dois dire que l'humour a fait mouche!!! J'ai donc beaucoup ri tout au long de cette lecture et je me demande, si des gens lisent ici, ce que donne le volume 5 à ce niveau Sourire . Et si on continue encore dans les enquêtes! Finalement, une belle surprise Surpris .
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shun
Mangaversien·ne


Inscrit le : 01 Sept 2002
Localisation : charleroi la ville noir

Message Posté le : 18/01/15 16:25    Sujet du message: Répondre en citant

plutôt déçu du 2 èm tome de liselotte, la fraicheur, l'humour a totalement disparu :/ on en apprend un peu plus sur le passé et l'histoire devient plus sombre mais ça ne suffit pas.
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Taliesin
Modératrice


Inscrit le : 01 Fév 2004

Message Posté le : 19/01/15 13:40    Sujet du message: Répondre en citant



Bishin est le seul manga d'une auteure de shôjo prolifique au Japon, Harumo Sanazaki, sorti en France. Et c'est un manga collector sorti à l'occasion de la convention Manga Expo en 2013. A l'époque, on avait aussi ce phénomène de manga collector pour Moto Hagio, avec son Léokun sorti lors de la Japan Expo 2012 (une année où beaucoup de rêves étaient permis Mort de rire ). Bishin est un manga en 2 volumes. Personnellement, je ne connais pas Sanazaki et je ne saurais dire si cette série est représentative ou non de son travail (on m'en a parlé lors d'une discussion par commentaires de blog pour son Abe No Seimei... haha). J'ai emprunté le volume à H, et je me souviens qu'on l'avait croisé d'occasion, dédicacé Mort de rire . Apparemment, Bishin serait limité à 500 exemplaires si on en croit Manga News. Sinon, une interview de Harumo Sanazaki.

Alors Bishin ça parle du dieu de la beauté, tout simplement. Kanzaki a 17 ans et c'est un pianiste hors pair, une star, un génie. Mais aussi, c'est le dieu de la beauté. Seulement, lors de sa naissance, une méchante fée Carabosse ou plutôt le démon Erèbe l'a divisé en deux: la partie pure et lumineuse, et l'autre partie, son ombre, sombre et triste, nommée pour le coup Atsuki. Atsuki est en tout point semblable à Kazuki sauf qu'il a les cheveux noirs, alors que Kazuki aborde une belle blondeur (les cheveux sont, long, très très très très longs, et ondulés Mort de rire ). Atsuki a toujours été élevé comme une ombre, interdit de sortir, non respecté, etc... et n'a aimé que Fleur de Lotus, une femme faisant partie d'un clan ayant des pouvoirs de "parfum". Des démons tentent de se servir de Atsuki pour faire du mal à Kazuki, afin que la beauté disparaisse de notre monde, plongeant celui-ci dans une sorte de chaos. Au milieu de tout cela, on fait la connaissance d'une douce jeune fille a priori banale, Kyôko, fan du pianiste, mais qui en fait cache un pouvoir du "parfum". Celle-ci est la clé pour que Atsuki et Kanzaki, grâce à la "force de l'amouuuur", redeviennent ensemble le Dieu de la Beauté.

Comment dire... Alors là, on a un shôjo des années 90 avec la menace de fin du monde qu'on a pu souvent voir en s'approchant de l'an 2000. Sauf que là, c'est la beauté qui fait tenir notre monde, la beauté, sa lumière, ses couleurs, son parfum. Et sans lui, exit le monde! Côté dessins, il faut aimer ce type de graphisme très shôjo de la fin des années 80-début des années 90 avec des visages interminablement longs, triangulaires et aux mentons... pointus. Sans parler des cheveux décidément super longs, et des chemises assez... fleuries Mort de rire . Ah oui, c'est quelque chose le look. Mais aussi, on retrouve la figure de la jeune fille innocente et altruiste, poussée à son paroxysme. Kyôko est gentille, ne sert pas à grand chose, et les seules répliques qu'elle sort sont des trucs du style "Mais", "Je le ferai si je suis la seule qui peut redonner l'amour à Atsuki", "qu'il est beau, je n'arrive pas à dire non à ses yeux", bref, je vous laisse imaginer la nana qui a de grands yeux, qui pleure et qui a souvent la bouche légèrement entrouverte Mort de rire Mort de rire . Au secours l'héroïne. Les décors sont assez souvent inexistants, et les ténèbres ressemblent un peu au Sanctuaire de Saint-Seiya. Beaucoup de pétales, mais surtout beaucoup de scintillements, à tel point que ça en est presque parodique.

Alors que je pensais ne pas en supporter la lecture de ces deux volumes, j'ai trouvé que ça passait plutôt bien, curieusement. Surprise donc. Pas très original, la force de l'amour et de la beauté avant tout ^^; du sacrifice aussi... mais au moins, on ne s'éternise pas trop et la narration de Sanazaki n'est pas si mal, si j'ai pu réussir à m'intéresser à cette histoire, ses dessins et à ses personnages, car ce n'était pas gagné!!! Bref, je ne le conseille pas, mais je voulais lire un jour un titre de cette auteure de shôjo dont on m'a brièvement parlé. Pas sûre que j'aie la curiosité de découvrir ses autres titres ceci dit Mort de rire Mort de rire . J'ai un peu de mal de dire du mal de cette oeuvre, on sent que Sanazaki a voulu dessiner ce manga depuis longtemps.
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Gemini_
Mangaversien·ne


Inscrit le : 03 Fév 2011

Message Posté le : 21/01/15 22:49    Sujet du message: Répondre en citant

Mimic Royal Princess T1 : Ce manga me pose un problème de conscience, qui devait bien arriver un jour. Pour résumer, j'ai trouvé cette entame bonne, parfois surprenante, mais je m'interroge quant à continuer ou non la série, sachant que j'en ai énormément à compléter en même temps (Free Fight, Dorohedoro, les Dragon Ball Perfect,...) D'un côté, je suis curieux de lire la suite, et de l'autre, je me dis que je pourrais mettre l'argent nécessaire dans un tome d'un autre titre. Et il est évidemment hors de question que je recours à la voie de l'illégalité pour juger de la suite.
L'histoire se déroule dans un monde où les hommes ont interdiction d'avoir un revenu d'argent, et où les femmes détiennent de fait le pouvoir. Alors qu'il souhaite admirer les préparatifs pour l'anniversaire de la reine, Albert est capturé par une marchande d'esclave, et vendu à ni plus ni moins que la princesse Alexia, seule héritière du royaume. En effet, Albert lui ressemble comme deux gouttes d'eau, et devra devenir son sosie.
Comme dit tantôt, c'est surprenant, dans la mesure où cela sort des poncifs tout en gardant un certain classicisme. Le scénario semble à priori convenu, sauf qu'il évolue d'une manière inattendue. Les vannes sur le travestissement du héros ne manquent pas, d'autant que le valet d'Alexia est un pédophile qui en pince très sérieusement pour sa maîtresse (et c'est traité très bizarrement), d'où quiproquos et déshabillages. Il y a de la comédie, mais aussi un univers très dur, où les hommes sont des esclaves - et ce n'est certainement pas un ressort humoristique - et la quotidien de la princesse très loin d'être enviable. Certains éléments sont gros comme des maisons - notamment l'identité réelle du héros - et d'autres beaucoup moins attendus. Quant au dessin, il n'est pas désagréable, mais pas mémorable ; il me rappelle un peu celui de Nikki Asada. Vous l'aurez compris, il s'agit d'un titre très ambivalent, qui me laisse circonspect mais me donne en même temps envie de continuer. Bon, seuls trois tomes sont pour l'instant disponibles en VO, cela ne me coûterait donc pas trop cher si je décidais de poursuivre l'aventure.

EDIT : Après mûre réflexion, j'ai décidé de ne pas poursuivre la série et de mettre le premier tome en vente. Une réflexion aussi fatale pour Bienvenue au Club, autre série pas mauvaise en soi mais que je préfère ne pas continuer en raison d'un intérêt moindre (par rapport aux autres que je suis régulièrement) et de sa longueur.
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shun
Mangaversien·ne


Inscrit le : 01 Sept 2002
Localisation : charleroi la ville noir

Message Posté le : 22/01/15 21:24    Sujet du message: Répondre en citant

Jabberwocky 1 : he ben on dire que là glenat a encore "osé" car c'est assez fumé, mais là n'est pas le problème, le reproche que j'aurais pour l'instant c'est dans l'histoire même, c'est très brouillon ! on a franchement du mal a suivre, comprendre et accrocher, dommage.
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Cyril
Mangaversien·ne


Inscrit le : 04 Sept 2002
Localisation : Evry

Message Posté le : 24/01/15 08:00    Sujet du message: Répondre en citant

Pour moi, ce sont les dessins qui posent problème. J'ai lu le flyer puis parcouru le manga à la Fnac mais ce style de dessin, sans être moche à proprement parler, me "bloque" vraiment. Il rend, pour moi, la narration assez confuse et c'est rédhibitoire.
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namtrac
Mangaversien·ne


Inscrit le : 02 Déc 2003
Localisation : The dark side of the road

Message Posté le : 02/02/15 14:19    Sujet du message: Répondre en citant

Mimic Royal Princess 1: pas inspirée pour rajouter quoi que ce soit à l'avis de Gemini ^^' Le pitch m'intriguait et je voulais tester. Lecture plutôt sympa. Je continuerai sans doute, mais sans me presser, en fonction de mon budget.

Par contre vu que c'est une sortie qui était initialement prévue pour 2014, j'aurais apprécié que Doki-Doki soit plus attentif sur l'édition. Ce tome 1 comporte quand même un peu trop de fautes et de coquilles, et surtout de bulles qui ont perdu leurs textes -___-
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