[GTO]

[stevenf76]

A ma grande surprise je n'ai trouver aucun topic sur ce manga.Donc j'en crée un.Et j'en profiter pour poser ma 1 ere question:
Je cherche a acquérir sur ebay la serie complete, mais je ne voudrai pas tomber sur des volumes qui meme sils sont en bonne état date de longtemps(car je sais par experience que meme en prenant soin de nos manga on ny peu rien sur la qualité des pages et la détériormeent du papier.Mais en meme temps si j'atten de trouver des GTO dont l'année d'édition est de 2007, jvai ptete attendre longtemps si ca nexiste pas.
Donc voila jaimerai savoir si les GTO sont encore édité de temps en temps ou si la fabrication des volumes a céssé depuis quelque temps.
Merci de vos réponses.

[Spawn]

Pour ceux que ca interresse une question et sa reponse lors de la conference de Presse de Fujisawa a Paris

Une question dâ??un autre internaute qui demande si vos fans auront un jour la chance de retrouver Onizuka dans une nouvelle série.

M.Fujisawa : Pour lâ??instant rien nâ??est concret mais avec M.Miura nous allons certainement faire une nouvelle série avec ce personnage.


Voila c'est dit...
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Le Go est sans fin.
on ne peut qu'y avancer pas à pas, recherchant la lumiere.
Le labyrinthe du go me tient pour toujours.
Je n'ai pas encore atteint le coup divin...

[Cyril]

Ce manga se concentre sur Saejima, le flic pourri ami d'Onizuka et qui avait droit à quelques chapitres tordants dans GTO (l'un d'eux est d'ailleurs présent à la fin de ce volume, ce qui n'a guère d'intérêt pour qui a déjà GTO).

Contrairement à Onizuka, Saejima a déjà eu des relations sexuelles - mais uniquement tarifées et avec des filles qui ne sont pas vraiment des canons. Son visage ressemblant à une gargouille décourageant la plupart des filles. Aussi quand une belle jeune fille liée à des yakuzas lui demande son aide, il court au devant des ennuis sans hésiter.

Hormis le fait que Saejima soit flic et qu'il n'ait aucune vocation pour ce métier, on est assez proche de GTO. Et, à défaut d'être un chef d'oeuvre, le manga reste assez amusant, notamment avec une bonne galerie de personnages secondaires comme Yû, une gamine qui passe son temps à se moquer de lui, Okita, son collègue flic fils-à-papa ou Shizuka, la fille ex-prostituée qui va donc occasionner les événements de ce premier volume.

Celui-ci est dynamique avec des personnages et des situations débiles à souhait et quelques doses de fanservice. Rien d'original mais le cocktail fonctionne bien. La série compte pour l'instant 5 volumes. J'espère que pour une fois elle ira à son terme.

[Cyril]

Une suite de GTO qui se déroule deux ans après. Onizuka est toujours professeur mais cette fois-ci dans un lycée où il doit s'occuper d'enfants-stars dont il va devoir résoudre les difficultés liées à leur notoriété et aux problèmes spécifiques au milieu dans lequel ils travaillent. Et on sait déjà, puisque le manga commence par ça, que ces problèmes (et la façon peu orthodoxe dont il va les résoudre) le conduiront en prison. Le manga se déroulera d'ailleurs en parallèle sur ces deux trames : on suit Onizuka qui résout les problèmes de ces élèves et sa vie en prison.

On ne s'éloigne pas vraiment de GTO, avec ces élèves à problème et Onizuka qui les résout en prenant tous les risques, souvent n'importe comment mais avec la volonté de protéger ses élèves à tout prix et de leur permettre d'évoluer. C'est souvent répétitif, un peu plus putassier que GTO (les élèves étant plus âgés, ils couchent ; les profs aussi... sauf Onizuka ), peut-être un peu moins machiste aussi, malgré un grand nombre de passages et de couvertures assez crus et vulgaires : dans les volumes 12-13, Hashimoto, une élève est victime du chantage de son ex qui la force à se prostituer sous peine de diffuser des photos intimes ; elle explique que ça ne la gêne pas de coucher avec de nombreuses personnes mais qu'elle ne veut pas le faire pour de l'argent. Onizuka résout classiquement le problème en cassant la gueule de son ex mais personne ne lui fait de leçon de morale en lui disant que ce qu'elle fait est mal et que ça explique/justifie en partie ses problèmes. Je ne suis pas sûr que le manga aurait eu la même morale dans ses parties précédentes...

Les personnages de GTO interviennent plus ou moins occasionnellement pour donner un coup de main à Onizuka, que ce soit lors de bastons (pour ses potes ex-loubards) ou pour des enquêtes. Uchiyamida est toujours aussi tordant, et parfois touchant dans sa relation avec sa famille. Cela permet de retrouver l'ambiance de GTO, même si on peut regretter un manque d'originalité certain.

[samizo kouhei]

C’est quand même un sacré aveu d’échec de la part de l’auteur qui a lancé plein d’autres séries qui ont été inachevées et/ou se sont plantées. J’ai tenté l’interquel mais j’ai très vite lâché l’affaire.

[Cyril]

Au moins, celle-là n'a pas été arrêtée.

[Tuc]

Il est clair qu'au-delà de GTO, l'auteur n'aura jamais réussi vraiment autre chose, et même si j'ai bien aimé la série précédente (Shonan 14 days, qui faisait revenir un personnage important de Youg GTO), ici on tourne en rond

Là ça fait quand même deux fois qu'on a le coup de la secte il me semble non ?

En plus si la résolution était parfois mignonne dans la première série (qui est la 2e, mais 1ere en france), ici Onizuka survole toujours le truc, il arrive un peu vers la fin, anticipe tout ce qui va se passer, dégomme quelques têtes, et c'est réglé, avec régulièrement une solution passant par sa société de prod'... Y'a plus les hésitations, le prof qui cherchait des solutions un peu naïvement, qui des fois se plantait mais de bonne fois et qui finissait toujours par retomber sur ses pattes, des fois involontairement. Les chapitres avec Ushiyamada sont en effet les seuls à nous redonner ces sensations (le chapitre avec l'ambiguité sur sa fille qui aurait couché avec Onizuka, ou qui ferait des nudes sur internet est tordant)

ça reste correct pour le dessin, mais je trouve aussi les couvertures trop racoleuses, et souvent injustifié en plus

Mais sinon dans le dernier tome j'ai bien aimé retrouvé le white swan, car en plus justement il amenait de la variété dans la résolution
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[samizo kouhei]

14 days c'était clairement un galop d'essai pour voir si le public japonais voulait encore d'Onizuka. Rien que le fait que ce soit une interquelle de 14 jours, tu savais très bien qu'il n'y aurait pas de conséquence dans la série principale.

[Tuc]

[shun]

Je trouve angel heart très différent de city Hunter, pas du tout la même ambiance.
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[Tuc]

le tome 17 est d'un coup beaucoup plus sombre. Bon jusque là les thèmes abordés étaient déjà un peu plus mature et pas juste un "banal" harcèlement scolaire comme le soulignait Cyril (même si trop survolé, clairement l'auteur ne sait pas trop où il va quand il aborde ces sujets), ici en un tome on se retrouve avec deux viols qui sont montrés

L'un arrive un peu comme un cheveu sur la soupe, on ne sait pas trop ce que ça fait là sauf dépeindre vraiment le côté crapuleux parfaitement inexcusable du personnage de directeur de prison (mais franchement c'était inutile, c'était déjà une pourriture)

L'autre est un peu plus utile à l'histoire, il explique le trauma d'un des personnages à parler de sa vie passée et comment elle a pu se retrouver ensuite piégé dans un système par celui qui l'a aidé dans ce moment

Sinon on suit de plus en plus l'histoire en prison (c'était plus anecdotique dans les premiers tomes), ce qui veut dire que l'on se rapproche de l'histoire qui l'y a amené (et ce qui ne veut pas dire que c'est celle qui est en cours)

Je me dis quand même, avec My Home Hero c'est la deuxième histoire que je lis avec une histoire de secte, évoluant tranquillement sans encombre avec les autorités. Je me demande si c'est un sujet brûlant en ce moment au Japon ou juste une coïncidence
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[Cyril]

Il me semble que les sectes étaient déjà abordées (rapidement) dans GTO. Mais le sujet doit être d'actualité au Japon, avec le type qui a tué Abe parce qu'il le considérait comme proche de la secte Moon.

[Tuc]

Tome 18 de Paradise Lost, le premier truc qui me choque, c'est la couverture racoleuse. Sérieusement ça devient malaisant à force au moment de passer à la caisse, surtout que c'est toujours gratuit sans aucun rapport avec le contenu. Je regardais les couvs de la série et ça fait 4 sur 18 franchement racoleuses (j'en compte pas une avec un décolleté) et 4 sur les 9 dernières couvs en fait (c'est surement ce ratio là qui me donne l'impression que c'est trop)

Bon sinon sur le contenu, l'histoire de la secte avance, en faisant revenir rapidement et tout azimut des personnages connus ce qui est agréable (même le fric ripou a son instant de gloire), et surtout, le tome se finit sur un ENORME climax qu'il aura fallu 83 tomes pour enfin voir arriver :

[Cyril]

Tome 19 : en bas à droite de la jaquette, il y a un petit logo indiquant que le volume est déconseillé aux moins de 16 ans. C'est la première fois pour cette série, ce n'est pas du luxe et je pense que ça aurait mérité d'être plus gros (voire de mettre le volume sous plastique). Parce que vraiment, certains passages sont gerbants. Ce qui n'est pas une critique du manga d'ailleurs, car ô´ru Fujisawa ne fait preuve d'aucune complaisance et en montre bien toute l'horreur.
Je suis un peu plus critique sur le déroulement des événements. La réaction de Nana est quand même complètement conne, même si sa rancune est parfaitement légitime. Comment pouvait-elle s'attendre à une autre réaction que celle qui a eu lieu ?
Les passages avec les deux "frères" apportent un peu de légèreté au volume : ça fait du bien et, sans être spécialement originaux, ces passages m'ont fait rire à plusieurs reprises.

Tome 20 : le volume est moins bon et moins marquant (moins glauque aussi, donc pas de logo). On a quelques passages en prison au début et ensuite, Onizuka étant occupé à s'entraîner, avec Fuyutsuki qui prend en charge ses élèves et va tenter d'en protéger un. Si j'ai bien aimé le personnage de l'élève et ses problèmes, Fuyutsuki a en revanche perdu pas mal de neurones et agit d'une façon particulièrement débile. D'autant plus que, même si je comprends le ressenti du lycéen, son cas n'était quand même pas dramatique et ne nécessitait donc pas d'agir de cette façon.