Manga City

Manga City proposait aux festivaliers la même surface au même emplacement qu'en 2020, une bulle organisée avec un espace dédié aux rencontres bien séparé des stands, apportant ainsi un bien meilleur confort d'écoute qu'à une certaine époque, même si le bruit venant du couloir d'entrée avait parfois tendance à couvrir les propos des invité·e·s.

Vous pouvez trouver ici une vingtaine de photos donnant un aperçu de cet espace et des rencontres qui y étaient proposées. Certains stands manquent (par exemple : Vega-Dupuis ou KBooks) pour cause de photos ratées.

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Les rencontres et conférences

Pas de Rencontres internationales cette année mais des Masterclass (pour ce que cela signifie, c'est-à-dire rien) et peu de conférences au Conservatoire. Pourtant, il s'agit, après les expositions, de nos animations préférées. Cette année, cette activité donc a été ramenée à la portion congrue pour une partie de la délégation (heureusement, il y en a un qui a été plus assidu) devant l'absence d'invité·e·s pouvant nous intéresser réellement. Il y aurait bien eu celle avec Derf Backderf mais l'Américain a annulé sa venue. Bien entendu, quelques-uns d'entre nous n'ont pas raté Chris Ware...

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Vues du festival

Le festival est disséminé dans tout le centre d'Angoulême, principalement sur le plateau mais aussi le long de la Charente et derrière la gare SNCF. Bulles temporaires et bâtiments en dur se partagent ainsi les différents sites de la manifestation.

Voici dix-huit vues donnant un aperçu très partiel (nous ne sommes pas allés partout, ni pris assez de photos) de la diversité des lieux.

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